La répression post-électorale du MINAT soulève une question cruciale
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Alors que le MINAT intensifie sa répression suite à la présidentielle de 2025, une question fondamentale divise l'opinion publique camerounaise. Le ministère de l'Administration Territoriale qualifie systématiquement de "actes de provocation" les manifestations contestant les résultats du scrutin, tout en restant silencieux sur les allégations de fraude électorale qui motivent ces rassemblements. Cette position officielle crée un dangereux flou autour de la définition même de la subversion dans le contexte post-électoral actuel.

Pour de nombreux observateurs et citoyens, les véritables actes de provocation sont à chercher du côté des irrégularités présumées qui ont entaché le processus de vote. Ils estiment que la répression des manifestations par les forces de l'ordre, sous prétexte de maintenir l'ordre public, revient à criminaliser le droit légitime à contester des résultats électoraux.

Cette situation expose la profonde crise de confiance entre le pouvoir et une partie de la population, qui considère que l'État réprime la contestation légitime plutôt que de répondre aux préoccupations sur la transparence du scrutin. Le débat sur ce qui constitue un véritable acte séditieux reste donc entier et crucial pour l'avenir démocratique du pays.

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