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© Correspondance particulière : Propos recueillis par Dilan KENNE
- 08 Oct 2025 09:01:28
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CAMEROUN :: Pr Begni Bagagna : « La FSJP de l’Université de Douala forme des cadres de qualité » :: CAMEROON
Le Pr Begni Bagagna, chef de la division des affaires académiques, de la scolarité et de la recherche, et directeur de la licence professionnelle de fiscalité à la Faculté des sciences juridiques et politiques (FSJP) de l’Université de Douala, dresse un bilan positif de l’année 2024-2025 et annonce une rentrée 2025-2026 ambitieuse. En misant sur une professionnalisation renforcée, une assurance qualité optimale et des innovations telles que l’ouverture d’une filière en English Law et d’un département de droit pénal, la FSJP se positionne comme un leader dans la formation de cadres adaptés aux exigences du marché.
Avant de parler du démarrage effectif de l’année académique 2025-2026, est-ce qu'on peut avoir le bilan de la précédente ?
« La Faculté des sciences juridiques et politiques de l'Université de Douala par ma voix (vous remercie de lui rendre visite ce matin et de se préoccuper de ses préparatifs ou du démarrage de la rentrée académique en son sein. L’année académique 2024-2025 s'est très bien déroulée. Nous avons rigoureusement respecté le calendrier académique arrêté par le ministre d'Etat, ministre de l’enseignement supérieur en début d'année, relayé et séquencé par monsieur le recteur.
Nous avons mis en mouvement les articulations qui nous avaient été recommandées. Nous avons respecté les pauses liées aux Jeux universitaires, aux congés des Pâques, au congé de Noël également. Mais globalement, les cours, les travaux dirigés, les évaluations se sont très bien déroulés et nous avons pu mettre nos étudiants et nos enseignants en congé dès le 31 juillet.
On avait tout bouclé et au retour, c'est-à-dire la rentrée administrative du 04 septembre 2025, nous avons mis à disposition des étudiants les effets académiques, notamment les relevés de notes qui peuvent déjà être retirés au bureau de l'accueil et de l'orientation, qui dispose de quatre guichets. Un guichet pour les capacités, un guichet pour les licences 1 et 2, un guichet pour les licences 3 et un guichet pour les masters. Ces relevés sont disponibles et cela participe, n'est-ce pas, de la gouvernance universitaire.
Donc l'année 2024-2025, c’est bien déroulé, sans anicroche, sans difficultés. C'est vrai que les problèmes ne manquent pas, mais nous nous sommes attelés à les surmonter grâce à l'impulsion du monsieur le doyen et à la mobilisation de l'équipe et de tout le personnel. »
Qu’est-ce qui fait l’actualité à la Fsjp de l’Université de Douala ?
« L'actualité, c'est la rentrée académique qui bat son plein. Rentrée académique depuis le lundi 6 octobre, mais dans la mouvance électorale, comme vous le savez, il faut bien tenir compte de l'élection présidentielle qui doit se tenir dimanche 12 octobre. Et nous sommes en période de campagne, mais malgré cette ambiance électorale, la rentrée a bel et bien eu lieu, puisque vous nous avez trouvés. Et il faut distinguer, au sein de la Fsjp, la rentrée académique du démarrage des cours.
En vue de permettre à nos responsables, engagés à plusieurs échelons dans la campagne électorale, nous avons décidé du démarrage effectif des enseignements dans toutes les filières et les options dont nous disposons à la Faculté des sciences juridiques et politique le lundi 13 octobre 2025. Mais la rentrée a eu lieu. Nous avons continué d'accueillir nos étudiants, nouveaux comme anciens.
Nous mettons les quitus en ligne, nous réglons les problèmes des différentes requêtes qui peuvent nous être adressées, qui pour réactiver son matricule parce qu'il veut revenir à l'école, qui d'autre pour savoir si ses quitus sont déjà en ligne, qui pour savoir si nous avons de nouvelles filières. Donc nous recevons les parents, nous recevons les nouveaux étudiants, nous recevons les anciens étudiants, nous leur expliquons les différentes offres de formation que nous avons. Donc la rentrée est effective au sein de la Faculté des sciences juridiques et politiques de l’Université de Douala.»
Vous parliez tout à l'heure de nouvelle filières. Quelles sont justement les innovations dans votre établissement pour cette année académique ?
« Les innovations sont de trois ordres. La première série d'innovations concerne l'ouverture d'une nouvelle filière en English Law. Vous savez que l'originalité de la Faculté des sciences juridiques et politiques de l'Université de Douala est d'avoir deux parcours types. Parcours fondamental, parcours professionnel.
Maintenant, dans le parcours fondamental, vous avez deux voies parallèles. Vous avez la formation fondamentale des francophones et la formation fondamentale des anglophones. C'était une idée que nous avons conçue afin de contribuer de notre manière à la résolution de ce que l'on appellerait le problème anglophone.
Et donc, la Faculté a offert cette possibilité de former des étudiants en droit, mais en langue anglaise, dans un cursus complet, c'est-à-dire du niveau 1 jusqu'au doctorat. Et donc, à partir du master 1, il y avait deux ouvertures. Le Business Corporate, qui s'apparente aux droits de l'affaire, et l'International Law.
Cette année, l'innovation a donc consisté à ouvrir une troisième possibilité, à savoir l'administration et les droits publics. Mais cette formation d'administration et des droits publics sera dispensée entièrement en anglais au grand bonheur de nos étudiants d'English Law qui l'ont demandé, au grand bonheur de nos étudiants et de nos collègues enseignants d'English Law qui auront là plus de matières à se repartir, et donc plus de travail à fournir, plus d'occupations et plus de recherches à faire.
C'est une nouvelle filière qui a été proposée au Conseil d'université, et le Conseil l’a validé en date du 12 août 2025. Donc, nous sommes là également sur le volet administratif en train d'élaborer les codes, codes étapes, codes matières de cette filière, et après l'élaboration des codes étapes et des codes matières, nous allons simplement transmettre le dossier au Centre du développement du numérique universitaire pour le paramétrage de la formation et la mise en ligne des quitus des étudiants qui auront choisi cette nouvelle filière. Ça, c'est la première série d'innovation.
La deuxième série d'innovation procède de ce que, lors des derniers mouvements du ministre d'État, ministre de l’enseignement supérieur, portant nomination des personnels à la tête des universités d'État, nous avons bénéficié de la création d'un nouveau département dénommé Département de droit pénal et des sciences criminelles. Il est donc question de structurer ce département qui est déjà pourvu en enseignants puisque au lendemain de cet arrêté de nomination, une réunion conjointe département de droit des affaires, département de droit privé fondamental, a eu lieu afin de permettre aux enseignants faisant déjà partie de l'un ou l'autre département de choisir soit de rester en DAF, soit de rester en DPF, soit de rejoindre le nouveau département de droit pénal et des sciences criminelles. Neuf de nos collègues se sont prononcés, plus leurs chefs.
On peut donc dire qu'on a dix enseignants déjà disponibles pour animer ce nouveau département qui doit maintenant être pourvu en éléments constitutifs, c'est-à-dire en matières et en options, droit pénal, droit pénal international, droit pénitentiaire, criminologie, politique criminelle, et ainsi de suite, pour que ce département soit donc animé et puisse permettre de former des spécialistes des questions pénales et des sciences criminelles pour adresser les problématiques nouvelles liées à la criminalité transfrontalière et au terrorisme. Donc, ça c'est la deuxième série d'innovations. Et puis la troisième, nous avons également continué de densifier notre offre de formation et de la rendre de plus en plus professionnalisante en introduisant de nouvelles matières, droits forestiers, droits de l'électricité, droits de l'eau, pour permettre à nos étudiants, n'est-ce pas, d'avoir plus de compétences, des compétences élargies dans ce nouveau champ du droit public qui restait jusqu'ici en friche.
Nous avons décidé de dynamiser le droit de l'urbanisme qui était jusqu'ici mal connu et de s'en préoccuper. Et donc, il y a là une triple innovation qui accompagne ou qui rythme la rentrée académique 2025-2026 au sein de la Faculté des sciences juridiques et politiques de l'Université de Douala, qui reste la porte d'entrée pour une meilleure formation, la porte d'entrée, le lieu d'une bonne formation et surtout le lieu de fabrication des élites, des élites de pointe, des élites d'excellence, le lieu de la performance. »
Des offres de formation pour quels débouchés et quelles finalités ?
« Une finalité d'abord certaine, indiscutable et bien assurée. Vous savez que la Faculté des sciences juridiques et politiques forme prioritairement deux catégories d'élites, le juriste et le politiste. Et cette formation du juriste et du politiste au sein de cette faculté offre donc plusieurs débouchés aux étudiants. D'abord dans le secteur public, ensuite dans le secteur parapublic et enfin dans le secteur privé.
Mais ce n'est pas ça qui nous intéresse le plus. Parce que le public, oui, l'étudiant qui sort d'ici peut devenir magistrat, il peut devenir commissaire, diplomate, inspecteur des régies financières, il peut devenir administrateur civil, c'est tout à fait acceptable. Il peut même devenir un grand officier de l'armée.
Donc ça, c'est faisable. S'il va dans le parapublic, il peut intégrer une société d'État ou une société parapublique ou d'économie mixte, on n'entre pas dans ces détails. Il peut intégrer une administration privée, une entreprise privée.
Mais l'accent est mis cette année 2025-2026 sur l'employabilité des jeunes, des étudiants que nous formons. Nous mettons donc particulièrement l'accent sur cette employabilité pour qu'il y ait cohérence et adaptation entre la formation que nous leur donnons et les besoins des milieux socio-professionnels. Voilà pourquoi nous travaillons en cohérence et en conformité surtout avec la dernière loi du 25 juillet 2023 portant orientation de l'enseignement supérieur qui accorde une focale particulière sur la professionnalisation.
Ce qui nous a donc conduit à dynamiser notre offre professionnelle. Nous avons le cycle des capacités, un premier concours sur la capacité en droit et l'économie dont un premier concours a eu lieu il y à deux semaines. Nous préparons d'ailleurs un deuxième concours pour le 18 octobre 2025 parce que les postulants continuent de toquer à la porte.
Il n'est pas question de leur fermer la porte. Il est question de leur permettre de venir postuler, de déposer leur dossier pour que le 18 octobre, ils prennent part au deuxième concours et rejoignent la première cohorte dont les résultats vont être publiés sous peu pour qu'ils entrent en cycle de capacités en droit et économie. Ce qui permet à ceux qui n'ont pas eu la chance d'avoir le baccalauréat général ou scientifique ou même en technique, en gestion, de rejoindre l'université, de suivre une formation en droit et de parvenir à la félicité professionnelle.
C'est le premier niveau. Ensuite nous avons les licences, notamment la licence de fiscalité, la licence de cadre administratif et carrière judiciaire, la licence de cadre des collectivité territoriale décentralisée, la licence en banque et assurance et la licence en transport, transit, logistique et procédure de dédouanement. C'est l'entrée en première année de licence professionnelle.
Mais on peut également faire une entrée directe en troisième année de licence professionnelle après avoir validé le niveau 1 et le niveau 2 et obtenu 120 crédits. Au lieu de continuer en licence fondamentale, on donne la possibilité à nos étudiants et ceux qui viennent d'ailleurs d'intégrer directement une licence professionnelle. La différence entre les deux, c'est que lorsque vous faites la licence fondamentale, vous êtes un généraliste.
Mais si vous choisissez une licence professionnelle, vous devenez spécialiste d'un domaine, et notamment le domaine que je viens de citer, et qui s'élargissent en troisième année lorsqu'on introduit des licences comme en assistance parlementaire ou encore en observation des élections, pour faire une part belle à nos amis politistes, observation des élections, assistance parlementaire, ainsi de suite. Puis vous avez le master qui est également un cycle de deux ans, master 1 professionnel, master 2 professionnel. Et là, nous sommes passés de 16 à 21 masters avec des formations de pointe, comme en droit notarial, en droit douanier et commerce international, en activité portuaire, en droit communautaire des affaires, en transports internationaux, en fiscalité où vous avez deux sorties, une sortie fiscalité appliquée, qui interpelle les affairistes, les civilistes, les fondamentalistes, mais aussi une sortie en administration fiscale, qui interpelle ceux qui ont fait le droit public, mais davantage les praticiens, les inspecteurs des régies financières, qui peuvent donc venir se perfectionner. Vous avez un cycle de masters en banque et assurance, qui a également deux sorties. Une sortie en assurance, une sortie en finance et banque.
Vous avez un master en droit foncier et domanial. Vous avez le master de juriste-conseil d'entreprise. Vous avez le master de décentralisation et de gouvernance locale. Vous avez le master de paix et sécurité. Vous avez deux masters en business corporate et en transport, en anglais. Vous avez le master en ressources naturelles, avec deux sorties, développement durable et également les énergies renouvelables.
Vous avez tous ces masters-là. Je n'oublie pas le master en marchés publics. Vous connaissez toute la problématique aujourd'hui des marchés publics dans nos administrations. Vous avez également ce master. Vous avez le master en activités portuaires. Vous savez que nous sommes dans une ville économique et il y a beaucoup d'activités qui tournent autour du port.
Nous avons les masters en droits du travail; droits et contentieux du travail et de la prévoyance sociale. Nous avons d'ailleurs, pour nos amis magistrats et avocats, et beaucoup d'autres responsables d'administration, un master en contentieux public et privé.
Nous avons élargi et diversifié. Nous avons créé un master en télécommunications et en activités numériques. En activités numériques pour prendre en compte toutes ces problématiques liées au développement de nouvelles technologies de l'information et de la communication. Vous avez cette innovation et cet élargissement de notre palette de formation. Je l'ai dit, nous sommes passés de 16 masters à 21. Cela montre bien que nous tenons à une bonne formation.
Mais votre question demeure, pour quelles finalités? Oui, nous formons à la fois les cadres moyens et les cadres supérieurs qui vont donc occuper, comme experts auprès des cabinets, des administrations publiques et privées, des chargés d'affaires, des clercs, dans un premier temps, dans les études notariales.
Et avec, pour aspiration de devenir plus tard eux-mêmes, notaires, avocats, juristes d'affaires. Nous les formons. Et nous avons, surtout pour notre fonction de fiscalité, un grand marché en zone CEMAC sur le marché des conseils fiscaux agréés CEMAC, (qui couvre donc six États, parce que l'agrément est celui de la CEMAC.
Cela vous donne la compétence sur six États qui constituent la CEMAC, quand vous êtes conseiller fiscal agréé. Donc, les débouchés sont certains pour une formation solide. Et vous ne trouverez nulle part ailleurs cela qu'à la Faculté des sciences juridiques et politiques de l'Université de Douala. »
Quels sont vos objectifs ?
« C’est d'abord poursuivre, comme je l'ai dit, la densification et la diversification de l'offre de formation en général. Et de l'offre de formation professionnelle en particulier. Mais notre objectif c'est, n'est-ce pas, de parvenir à deux choses.
Première chose, former des cadres de qualité, des cadres de moyens et supérieurs de qualité, mais aussi perfectionner ceux qui sont déjà sur le terrain, qui peuvent donc revenir, prendre une formation supplémentaire pour se perfectionner. Nous poursuivons, comme autre objectif, l'assurance qualité. L'assurance qualité en faisant en sorte que l'étudiant, les parents, qui sont nos usagers, soient toujours satisfaits en temps réel par nos prestations. Et qu'ils aient la bonne information, que nous puissions répondre à toutes les sollicitations, à toutes les demandes, comme l'exige la démocratie administrative. Donc nous sommes engagés sur cette double voie. La professionnalisation accrue, mais également l'assurance qualité.
Parce que tout cela participe, je l'ai dit en début de cette interview, de la gouvernance universitaire. Parce que c'est la meilleure offre. »
Pourquoi un bachelier doit-il s’inscrire en Fsjp de l’Université de Douala ?
« Parce que c'est la meilleure offre. La Faculté des sciences juridiques et politiques de l'Université de Douala est la meilleure offre, je le martèle. En termes d'équipes d'encadrement, elle dispose d'un corps enseignant suffisant, par département d'abord, de très bonne qualité.
Je ne vous ferai aucune confidence si je vous révélais que le recteur de l'université de Douala est lui-même enseignant de cette faculté. Le président du conseil d’administration, le conseiller technique, le secrétaire général de l'université, ce sont des perles rares. Ce sont des grands maîtres qui montrent la voie à la jeune garde que nous avons. Donc nous disposons d'un corps enseignant étoffé, disponible, bien formé, qualifié pour porter, n'est-ce pas, le message du succès, de la qualité de la formation, de la compétence, du savoir-faire et du savoir-être dans notre faculté. Cette faculté également dispose, comme je l'ai dit, d'une offre de formation calibrée sur les besoins des employeurs qui sont d'ailleurs impliqués dans le processus de formation, au moins à trois niveaux.
D'abord, dans la définition et l'élaboration des curricula de formation, surtout en filières professionnelles, ils sont impliqués. Nous discutons avec eux pour qu'ils nous disent quel type d'étudiant, ou plutôt quel type de collaborateur nous devons former pour que celui-ci, une fois arrivé en cabinet, en entreprise, dans les administrations, soit directement et immédiatement opérationnel. Ça, c'est le premier niveau d'implication, la définition des curricula.
Deuxième niveau d'implication, nous les invitons à l'enseignement. Ils viennent dispenser des cours parce que le LMD exige que les professionnels, que nous appelons les enseignants vacataires, interviennent à hauteur de 65 % et nous, les enseignants permanents, intervenions à hauteur de 35 %. Ces quotas sont tout à fait bien respectés au sein de la Faculté des sciences juridiques et politiques parce que l'implication des professionnels permet à ces derniers de transmettre leurs rouages de métier à nos étudiants lorsqu'ils viennent enseigner. Troisième niveau d'implication, les stages et l'insertion professionnelle.
Dès lors qu'il est intervenu en amont dans l'élaboration des curricula de formation, dès lors qu'il est intervenu au milieu dans l'enseignement, en aval, il sera plus aguerri d'accepter l'étudiant en stage et finalement de le retenir parce que les statistiques montrent que les étudiants qui vont en stage, dans les cabinets, en entreprise, dans les administrations publiques, ne reviennent presque pas. C'est vérifiable au Cameroun, c'est vérifiable pour nos étudiants tchadiens, congolais, gabonais, c'est vérifiable pour les Centrafricains. Même quand ils vont rentrer en stage dans leur pays, ils ne reviennent que pour nous dire « j'ai été retenu finalement et j'ai besoin de mes effets académiques pour retourner travailler ». Donc, les professeurs sont impliqués à un triple niveau et cela pour assurer, nous l'avons dit, une formation de qualité à nos étudiants pour que les produits qui sont mis sur le marché soient directement opérationnels, immédiatement productifs et très rentables. »
Merci professeur.
« Au nom de M. le recteur de l'Université de Douala, le Professeur Magloire Ondoa, au nom de M. le doyen de cette Faculté, le Professeur André Akam Akam, je voudrais vous dire merci pour l'intérêt que vous portez à notre modeste, mais très auguste Faculté des sciences juridiques et politiques de l'Université de Douala. Je vous remercie. »
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