Présidentielle 2025 : La diaspora fait pression sur Elecam.Le CNC sanctionne des journalistes.
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La presse revient sur la présidentielle, et les sanctions infligées aux journalistes…

Au départ, les inscriptions sur les Listes électorales en vue des élections futures. Le quotidien La Nouvelle Expression, paraissant à Douala titres que « La diaspora presse Elecam ». Une association des Camerounais de la diaspora vient de saisir Elecam par exploit d’huissier pour lui demander d’ouvrir les inscriptions sur les listes électorales dans les représentations diplomatiques camerounaises de l’étranger. Une opération qui devait débuter le 1er janvier 2024, conformément à la loi. Un blocage que des leaders de l’opposition ont déjà qualifié de manœuvres de fraude au profit du parti au pouvoir.  Cette ambiance des futures élections est tout aussi parceptible à Yaoundé, la capitale du Cameroun et siege des institutions.

Le quotidien Le Messager parle de  « Le vent 2025 et ses irruptions de divisions » Pour le journal, Tout Yaoundé est en permanence bombardée par des frasques insolites venant du sommet. Les clans se vouent une belle inimitié à ciel ouvert. Tout ceci est envenimé sur les réseaux sociaux où des piles de documents estampillés du sceau de la confidentialité tournent en boucle, au grand scandale de l'opinion qui ne sait plus à qui se remettre pour faire la part des choses. D'ailleurs toute décision gouvernementale est aux premiers chefs scrutés pour déterminer le camp de sa provenance.

Ailleurs, au Conseil National de la Communication CNC, on sanctionne. De fait et selon le quotidien Le Messager, Au cours de cette session du Conseil national de la communication (Cnc) dont le verdict est rendu ce 21 février 2024 à son siège, le bilan livré par Joseph Chebonkeng Kalabubse a concerné 5 cas avec 2 non lieux à suivre.

En ce qui concerne les suspensions, elles sont motivées par les atteintes à l’éthique et à la déontologie professionnelles en matière de communication sociale. C’est le cas dans l’affaire Faï- Yengo Francis, coordonnateur national du Comité national de Désarmement, de démobilisation et de réintégration (Cnddr), contre l’organe de presse écrire dénommé « Le point bihebdo » , son directeur de publication (Dp) et le nommé Nicolas Atangana, journaliste en service audit organe. Ce dernier est suspendu pour une durée de 2 mois avec son Dp, Thierry Patrick Ondoua, de l’exercice de la profession de journalisme au Cameroun pour manquement aux exigences professionnelles d’investigation, d’équilibre et de recoupement de l’information publiée. 

Dans la deuxième affaire, il s’agit de Ndong Ebozo’o Daniel, président de la section Rdpc de la Vallée du Ntem III, contre l’organe de presse écrite dénommé « l’Elite » , son Dp et le journaliste Monayong William. Le Cnc a adressé un avertissement au Dp et a suspendu d’un mois le journalisme de l’exercice de la profession de journalisme au Cameroun pour « manquement professionnel consécutif à la publication des propos insinuants et offensants à l’encontre des militants du Rdpc ». 

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