Présidentielle 2025 : Jean Blaise Gwet, victime d’une injustice historique
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Le rideau est tombé, non pas sur une simple candidature, mais sur une espérance nationale incarnée par un homme droit, républicain, intègre et profondément enraciné dans l’amour du Cameroun.

Ce 04 août 2025, le Conseil Constitutionnel a confirmé le rejet de la candidature de Jean Blaise Gwet, président du MPCC, pour l’élection présidentielle du 12 octobre prochain.

C’est une page sombre de notre histoire démocratique qui s’écrit.

Rejeté une première fois le 26 juillet 2025 par ELECAM pour des motifs discutables — l’absence de 300 signatures légalisées et de certificat d’inscription sur les listes électorales — l’espoir d’un recours impartial s’est éteint, malgré les preuves irréfutables du dépôt de tous les documents requis, y compris l’attestation litigieuse, pourtant signée par ELECAM elle-même.

Faut-il comprendre que la vérité des faits ne suffit plus pour être candidat au Cameroun ?
Faut-il conclure que lorsqu’un homme incarne la probité, la jeunesse, la compétence, la diplomatie et l’audace de dire non aux logiques anciennes, il devient soudainement "trop dangereux" pour la scène politique ?

Car comment expliquer que Jean Blaise Gwet, investi par un parti politique disposant de 3 conseillers municipaux, donc éligible selon l’article 122 du code électoral, ait été écarté de la course présidentielle pour des motifs purement administratifs, pourtant contestés avec pièces à l’appui ?

Cette décision n'est pas seulement une injustice individuelle. Elle est une trahison du rêve démocratique que portent des millions de jeunes Camerounais. Elle est une faille dans notre système républicain, une tâche sur la conscience de notre processus électoral.
Elle soulève une question grave : sommes-nous encore dans une démocratie où la règle de droit s’impose aux intérêts du système ?

Jean Blaise Gwet est bien plus qu’un candidat : il est un modèle de paix, un homme de dialogue, un diplomate respecté, un entrepreneur au service du peuple, et un visionnaire porteur de 20 engagements pour réinventer le Cameroun.

Aujourd’hui, l’Histoire est témoin. Le peuple observe. Et le monde voit.

L’éviction de Jean Blaise Gwet n’est pas une fin. C’est le début d’une conscience nouvelle.
Car on peut rejeter un dossier, mais on ne peut pas étouffer une destinée.
On peut falsifier une procédure, mais on ne peut pas falsifier la vérité.

À tous ceux qui croient encore en la justice, en la transparence, en la paix et en l’avenir : gardons foi. L’injustice ne peut jamais être le dernier mot de l’Histoire.

La vérité viendra. La lumière percera. Et Jean Blaise Gwet, porteur d’une promesse générationnelle, en sera l’un des éclaireurs.

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