Un dimanche de grâce à la Courneuve, GABICIA honore sa maman de 88 ans avec force et lumière
FRANCE :: SOCIETE

FRANCE :: Un dimanche de grâce à la Courneuve, GABICIA honore sa maman de 88 ans avec force et lumière

La Courneuve, cette commune bouillonnante d’humanité située à un jet de pierre de Paris, a connu ce dimanche un moment suspendu, hors du temps, presque céleste.
 
Au 51 rue de Genève, dans l’enceinte sobre et fervente de l’église ROCHER DES MIRACLES MINISTRY, un hommage a pris des allures de révélation : GABICIA, pasteur, femme de cœur et d’engagement, a honoré sa mère, 88 ans, avec une intensité qui a ému jusqu’aux pierres.
La scène s’ouvre sur une entrée d’une majesté rare. Vêtue de blanc, avec sa couronne de reine du jour, la matriarche traverse l’allée sous une pluie de chants, de louanges et de regards remplis de gratitude. L’église s’illumine de cette grâce particulière que seules les grandes âmes savent convoquer. La blancheur de sa tenue semble dire ce que les mots peinent à formuler : pureté, longévité, dignité.
 
Puis vient le moment du témoignage, et tout bascule. GABICIA, que l’on connaît flamboyante, devient presque une autre. Elle se tient là, nue d’artifice, défaite de toute posture, submergée par l’émotion. Sa voix tremble, ses mots vacillent, mais son cœur, lui, parle haut et fort.
 
Devant une assemblée médusée, elle s’excuse publiquement pour les douleurs du passé, les silences, les colères, les éloignements. Un retour bouleversant sur une enfance cabossée, sur les heurts et les tourments d’une vie que seule la mère a su porter avec amour, sans jamais flancher.
 
Alors, dans un geste d’humilité absolue, GABICIA s’agenouille au pied de sa mère. Les larmes, d’abord contenues, coulent librement. Dans ce geste fort, c’est toute une génération qui semble s’agenouiller, toute une société qui retrouve le sens du mot “honorer”. On pense au Christ lavant les pieds de ses disciples ; ici, c’est l’enfant qui se prosterne devant celle qui l’a portée, élevée, sauvée.
 
L’émotion collective est palpable. Les cœurs s’ouvrent. Les regards s’évadent. Ce n’est plus une cérémonie, c’est une renaissance spirituelle. Le pasteur, dans une méditation inspirée du Livre de Genève, évoque la multiplication des grâces et exhorte chacun à élargir sa vision du don et de la gratitude.
Puis vient le temps de la fête, dans toute sa beauté simple et généreuse. Un voyage culinaire conduit les invités au cœur du Cameroun profond, avec des mets typiques de Baham, notamment le célèbre haricot « petites graines », emblème d’une tradition qui résiste au temps.
 
Enfin, maman revient une dernière fois, portée par une ovation, pour couper le gâteau d’anniversaire. Et comme si cela ne suffisait pas, GABICIA s’effondre à ses pieds, l’embrasse avec une ferveur rare. Un geste fort, presque biblique, qui marque les esprits à jamais.
 
Des amis fidèles comme Charly Djom’s entonnent des chants à la gloire du Christ. Le gâteau est servi, les bulles aux arômes champenois jaillissent, et les sourires fleurissent. C’est un moment de communion, de réconciliation, de foi partagée.
 
Un dimanche béni où l’on a parlé d’amour, d’héritage, de pardon. Un moment qui rappelle que tant que nos parents vivent, nous avons une grâce à entretenir.
 
Merci GABICIA pour ce moment. Merci pour la vérité. Merci pour ce rappel essentiel : honorer ses parents, c’est honorer la vie.

Pour plus d'informations sur l'actualité, abonnez vous sur : notre chaîne WhatsApp 

Lire aussi dans la rubrique SOCIETE

Les + récents

partenaire

Vidéo de la semaine

évènement

Vidéo


L'actualité en vidéo