Le ministre de l’Administration Territoriale, Paul Atanga NJI, a récemment exprimé son opposition ferme à une éventuelle candidature de Cabral LIBII à l’élection présidentielle de 2025. Selon lui, aucune décision de justice n’a officiellement reconnu Cabral LIBII comme président du PCRN (Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale), ce qui remet en question sa légitimité à se présenter.  

Dans un contexte politique tendu, cette déclaration du ministre relance le débat sur la gouvernance et la transparence des partis politiques au Cameroun. Paul Atanga NJI, connu pour son engagement en faveur de la stabilité institutionnelle, a rappelé que les règles établies par le code électoral doivent être respectées pour garantir des élections libres et équitables.  

Cabral LIBII, figure controversée du PCRN, a souvent été au cœur de polémiques. Bien qu’il se présente comme le leader légitime de son parti, l’absence de validation judiciaire de son statut complique sa position. Cette situation soulève des questions sur l’avenir du PCRN et son rôle dans la course à la présidentielle 2025.  

Les partisans de Cabral LIBII dénoncent une tentative de marginalisation politique, tandis que les défenseurs de la position du ministre y voient une nécessité pour préserver l’ordre constitutionnel. Cette divergence d’opinions illustre les tensions qui traversent le paysage politique camerounais à l’approche des élections.  

En conclusion, l’opposition de Paul Atanga NJI à la candidature de Cabral LIBII met en lumière les défis liés à la légitimité et à la transparence dans les processus électoraux. Alors que la présidentielle 2025 se profile, cette affaire pourrait influencer les dynamiques politiques et les alliances à venir.  

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