Des manifestants se rassemblent sur la place de la Révolution à Ouagadougou, 28 octobre 2014. (AP Photo/Theo Renaut).

Des manifestants tiennent une banderole avec la mention : “Blaise Compaoré est notre Ebola“, sur la place de la Révolution, Ouagadougou, 28 octobre 2014. (REUTERS/Joe Penney)

Des manifestants réunis sur la place de la Révolution à Ouagadougou, 31 octobre 2014. (AP Photo/Theo Renaut).

Des manifestants réunis sur la place de la Révolution à Ouagadougou, 31 octobre 2014. (AP Photo/Theo Renaut).

Une foule de manifestants réunis sur la place de la Révolution à Ouagadougou, 31 octobre 2014. (AP Photo/Theo Renaut).

Le général Honoré Nabere Traoré, troisième devant à gauche, annonce la fin du régime de Compaoré et la prise du pouvoir par des militaires, 31 octobre 2014. (AP Photo/Theo Renaut)

Le lieutenant-colonel, Yacouba Isaac Zida, au centre, le numéro deux de la garde présidentielle  (Régiment de la sécurité présidentielle) déclare avoir pris le pouvoir aux côtés d’autres officiers de l’armée burkinabè, Ouagadougou, 1 novembre 2014. REUTERS/Joe Penney

Le lieut. Col. Yacouba Isaac Zida, le numéro deux de la garde présidentielle (Régiment de la sécurité présidentielle) déclare avoir pris le pouvoir aux côtés d’autres officiers de l’armée burkinabè, 1 novembre 2014. REUTERS/Joe Penney

Des manifestants pillent la résidence du jeune frère de l’ex-président Blaise Compaoré qui a quitté le pays, Ouagadougou, 31 octobre 2014. REUTERS/Joe Penney

Des manifestants pillent la résidence du jeune frère de l’ex-président Blaise Compaoré qui a quitté le pays, Ouagadougou, 31 octobre 2014. REUTERS/Joe Penney

La police stationnée devant le siège du parlement brulé par des manifestants à Ouagadougou, 31 octobre 2014. REUTERS/Joe Penney

Le général Honoré Nabere Traoré, troisième devant à gauche, annonce la fin du régime de Compaoré et la prise du pouvoir par des militaires, 31 octobre 2014. (AP Photo/Theo Renaut)