Peut-on vivre sans une idée précise de ce qu’est la vie, du sens qu’elle peut avoir, cette course à la mort ? - Oui c’est tout à fait possible, la vie se charge de  nous divertir avec ses urgences et appâts. - L’urgence de gagner son pain. - L’appât, la fascination de ce qui nous tente, le plaisir la richesse les honneurs. (Henri Guillemin – Ma conviction profonde)
 
Dans une  vieille Europe où les industriels, marchands d’armes et banquiers  contrôlent quasi-totalement l’information et de l’économie, à travers des actions dans les groupes de presse indépendants du pouvoir politique temporel mais soumis éternellement aux affairistes, la COP 21 de Paris sous égide de ce machin nommé ONU  qui prétend que l’évolution cyclique du climat de la planète serait liée à l’industrialisation de trop de pays, comme si ce phénomène devait être circonscrit à l’Europe ; lorsqu’on sait que la Première Guerre Mondiale de 14-18 contrairement à la version officielle du Traité de Versailles en 1918  était déjà en préparation comme le dénonçait l’économiste français  Francis Delaisi en 1911 dans « La guerre qui vient », il y a lieu de se poser bien des questions.

Curieusement, cette COP 21 de 2015 intervient à la veille  des attentats  qui ont eu pour conséquence directe la fin des libertés de manifestations en France ou de contestation des décisions arbitraires du gouvernement, une dictature totale assumée sous prétexte des attentats terroristes, dont les auteurs présumés  ne seront jamais jugés publiquement et pour cause, des unités bien entraînées et équipées n’ont jamais été capables de capturer vivants les présumés terroristes, afin que leurs exploitations par les enquêteurs informés et travaillant sans la moindre pression, aident le public, déjà abreuvé de divertissements par les médias sous ordre,   à comprendre l’origine du problème.