Selon Kejang Henry Atembeh du SDF, ALBERT DZONGANG DOIT ETRE ARRETE.
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CAMEROUN :: Selon Kejang Henry Atembeh du SDF, ALBERT DZONGANG DOIT ETRE ARRETE. :: CAMEROON

Pour avoir déclaré ouvertement sur Radio Balafon qu'il avait comploté avec d'autres ténors du RDPC pour gommer la victoire de Ni John Fru NDI à l'élection présidentielle de 1992.

La déclaration d'Albert DZONGANG à l'émission " Sacré matin " sur Radio Balafon, le 29 février 2024, n'est rien d'autre qu'un crime contre le peuple camerounais.

Il est de notoriété publique qu'il a déclaré être le principal cerveau du vol de la victoire de NI JOHN FRU NDI à l'élection présidentielle de 1992 au Cameroun.

Ecoutez-le : "Je crois que j'ai même été le principal instigateur". 

Dans un pays sérieux où l'Etat de droit est respecté, Albert Dzongang devrait être jugé pour un crime qu'il a commis il y a 32 ans. 

La Némésis a manifestement rattrapé M. Dzongang qui a apparemment dépassé son utilité politique. 
Helas !  Il a ouvertement avoué comment il a été impliqué dans l'affaire.

Il est évident qu'il a bafoué l'honneur, la mémoire et l'héritage de Ni John Fru Ndi sans lui accorder une aorte de respect. Inutile de rappeler à M. Albert Dzongang que le Peuple Camerounais n'est pas dupe. Il ne peut en aucun cas être trompé par Albert Dzongang. 

Pour rappel, la force réelle du SDF sera confirmée aux élections municipales de 1996. En solo, et avec plus de 125 listes de candidatures rejetées, le parti du Chairman NI JOHN FRU NDI remporta tout de même la victoire dans toutes les mairies des grandes villes. Cela a poussé le gouvernement désespéré du RDPC à créer et à nommer des délégués du gouvernement pour enfreindre considérablement l'action des maires du SDF.

 Il en fut de même lors des élections législatives de 1997, malgré le rejet massif des listes, les fraudes, et autres intimidations, le SDF disposait de 43 parlementaires dont les voix se firent bruyamment entendre, provoquant ainsi le début de la fameuse opération épervier.

En 1997, Albert Dzongang, Président Fondateur du Parti politique La Dynamique, qui n'a pas pu gagner même dans sa ville natale de Bahouang, obtint un score nul de 0,0000 %.
Depuis cette débâcle, il joue son meilleur jeu qui n'est autre que l'espionnage et la trahison de ses adversaires, mieux des Compatriotes identifiés comme potentiels prétendants à la Magistrature Suprême de notre pays.

Le but de cet article est de rappeler à ceux qui ont été cités par Albert Dzongang comme étant des membres de la cabale ayant abouti au vol de la victoire de Ni John Fru Ndi à l'élection présidentielle de 1992, à défaut de se reconnaître dans ses déclarations, qu'ils devraient le traîner devant les tribunaux pour diffamation, fausse accusation et déclarations mensongères.

Ayant ainsi dévoyé son utilité politique, Albert Dzongang devrait être craint par ses "alliés" pour ce qu'il a fait à cette nation, car il fera tôt ou tard la même chose à ces "alliés", comme il l'a fait il y a 32 ans.

En tant qu'homme politique, il a montré son vrai visage au peuple. Après avoir déclaré qu'il avait volé, Albert Dzongang devrait enterrer sa tête dans la honte et se cacher loin dans une forêt, plutôt que de se targuer d'être un voleur.

Malheureusement, comme nous l'avons déjà mentionné, dans un pays sérieux, Albert Dzongang ne devrait pas marcher librement après avoir commis un tel délit politique. 

Beaucoup de ceux qu'Albert Dzongang a cités sur Radio Balafon ont quitté ce monde. Certains sont handicapés et se déplacent en fauteuil roulant. Beaucoup d'autres sont encore en vie pour témoigner de ce vol politique bien calculé par Albert Dzongang, et qui a ainsi manifestement contrarié le destin de millions de Camerounais depuis 32 ans.

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