"Elle est devenue hystérique en une fraction de seconde." Mohamed Rizki, qui a déposé une plainte (pour coups et blessures) contre Valérie Trierweiler suite à une gifle que l'ex-première dame lui aurait infligée, témoigne dans le Parisien du samedi 14 mars.

S'estimant "humilié", le jeune homme, ex-candidat UMP aux dernières municipales à Compiègne demande des "excuses publiques" de la part de l'auteure de Merci pour ce moment.

"Quand je lui ai demandé 'Comment va François ?', c'était une simple question. Elle a eu une réponse disproportionnée. En me giflant, elle a porté atteinte à mon intégrité physique, morale et à ma dignité humaine. Entre gens civilisés, on n'utilise pas la violence pour des mots, qui plus est quand on a été première dame de France", dit-il. Et d'ajouter sur le site internet du Parisien qu'il était environ 14h30 lorsqu'il a vu Valérie Trierweiler débarquer dans le café.

"Elle est venue vers nous en répétant de manière très agressive : 'Excusez-vous ! Excusez-vous ! Excusez-vous !' Elle était très, très hystérique. Et là, elle m'a giflé avant de tourner les talons. J'étais choqué. J'ai été humilié", poursuit-il.

Si Valérie Treirweiler n'a pas réagi à cet incident, elle a néanmoins posté un tweet sans équivoque quelques heures après la parution de cette information de RTL.fr : "Un seul mot : #stopàlamuflerie".

Détendue lors des derniers défilés parisiens de la Fashion Week, Valérie Trierweiler a-t-elle perdu son sang froid comme l'affirme la victime supposée ?

La journaliste, forte du succès de son brûlot sur son ex-compagnon François Hollande, ne manque en tout cas pas de toujours passionner les Français, six mois après la sortie du livre qu'elle a célébrée récemment en croisant Julie Gayet dans un hôtel parisien.

Valérie Trierweiler a vécu une relation médiatisée avec François Hollande jusqu'à ce que celui-ci ne mette un terme à leur histoire par voie de communiqué transmis à l'AFP, quelques jours après les révélations de Closer sur une liaison supposée entre Hollande et la comédienne Julie Gayet, en janvier 2014.