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© Correspondance : O.M
- 11 Jun 2025 13:41:51
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Injustice, Corruption, népotisme: Un Camerounais saisit l'ONU contre la justice camerounaise :: CAMEROON
Un Camerounais saisit l’ONU contre la justice de son pays et dénonce deux haut Magistrats de la Cour d’Appel de l'Ouest à Bafoussam.
Alain René le sage le disait en 1717 :<< la justice est une si belle chose qu’on ne saurait jamais l’acheter>>. Malheureusement dans mon pays le Cameroun, cette justice est devenue un comptoir commercial digne de celui de l’époque de la traite négrière ou les camerounais sont vendus au plus offrant. Oui il n’y a de justice au Cameroun que pour celui détenteur d’un gros porte-monnaie, ou d’une grosse voix digne de celle des hommes forts qui ont remplacé les institutions fortes.
Telle est la loi imposée par les magistrats ripoux qui gangrènent l’appareil judiciaire.
Les pratiques obscures telle que : fausse qualification des affaires, distraction des pièces du dossier, renvoie des affaires des dizaines de fois sans aucune justification , extraction de nom de mise en cause en phase d’instruction et la liste des pratiques et stratagème est loin d’être exhaustive. Bref, tout y passe en fonction des intérêts des magistrats ripoux et autres en charge de dire le droit.
Le plus grave c’est qu’ils n’ont plus de limite et se permettent même de livrer nos enfants à l’étranger à prix d’or en vue de satisfaire à leur boulimie financière sans limite.
Comment comprendre que dans un pays ou on dénombre plus de deux millions d’enfants sans acte de naissance alors même que l’Etat peine à résoudre cette difficile équation, un haut magistrat se donne le droit d’annuler un acte de naissance d’un enfant dûment établi depuis plus de 20 ans en toute légalité ? Livrant ainsi délibérément ce dernier en Europe où le pauvre papa reste jusqu’à ce jour sans aucune nouvelle de son fils.
En effet c’est la réalité de cette affaire qui a défrayée la chronique du côté de la région de l’Ouest- Cameroun, plus précisément dans la ville de Dschang au courant de l’année 2015.Un enfant avait été enlevé et exfiltré vers l’ Europe par des mécanismes peux orthodoxe ou un terrible faux en écriture publique fut perpétré par la production d’un doublon d’acte de naissance au nom de l’enfant en ôtant le nom du père au passage, ceci afin de flouer les autorités consulaires d’un pays ( Belgique) pour l’obtention d’un visa ayant permis la sortie de l’enfant du teeritoire camerounais .
L’affaire avait été mise à jour impliquant la mère de l’enfant vivant en Europe, une religieuse, un greffier, un secrétaire d’état civil et d’autres personnes ayant participé à la supercherie.
Le premier couac sera observé quand nous découvrirons avec stupéfaction, la non présence du nom de la mère de l’enfant dans le dossier d’instruction, celle la pourtant qui était la demanderesse du faux jugement supplétif.
Seuls les noms des témoins du faux jugement supplétif, du greffier signataire et de l’officier d’état civil figurent dans le dossier renvoyé au tribunal par le juge d’instruction, pourtant dans notre plainte, le nom de cette femme figure en premier lieux dans la liste des auteurs de la forfaiture.
A la question de savoir les raisons de la non culpabilisation de cette dernière, on nous dira que cette dernière est en Europe, pourtant dans le faux jugement supplétif, c’est bien écris qu’elle est ménagère et réside à Bafou par Dschang, et même si elle était en Europe, donc un sujet qui part de l’Europe pour commettre un forfait au Cameroun ne peut-il pas être poursuivi au Cameroun ? Grosse curiosité.
Malgré tout ,après trois années d’instruction au tribunal de première instance de Dschang, le juge malgré les énormes pressions exercées par l’entourage d’une sœur d’église lourdement impliquée dans le forfait , dira clairement le droit en condamnant tous les accusés a des peine de prison tout en procédant à l’annulation systématique du faux acte de naissance tout en réhabilitant l’acte original de l’enfant .
Curieusement, les accusés connaissant bien la cour d’appel ont très vite relevés l’appel de leur décision à la cour d’appel de l’Ouest et pendant qu’on croyait que y étant la collégialité devrait saisir notre appel pressant concernant l’insertion du nom de la mère de l’enfant demanderesse du faux jugement supplétif à l’effet de faciliter la procédure pendante en Europe et retrouver la trace de l’enfant exfiltré, voir même alourdir les peines prononcées en instance au vu de la gravite des faits, que non !!!!! C’est plutôt une manne qui est tombée du ciel pour le haut magistrat
Ce dernier après plusieurs tractations procédera en juin 2019 contre toute attente à l’acquittement des principaux inculpés et plus grave encore, ce dernier procède à l’annulation de l’acte authentique de l’enfant.
L’enfant se retrouve ainsi sans filiation : un faux acte annulé en instance Dschang et son acte de naissance authentique établi depuis 20 ans annulé en appel à
Bafoussam.
Les curiosités de la Cour d’Appel de l’Ouest
Le Déroulement de l’audience du délibéré à la cour d’appel de Bafoussam où je fus présent pour cette audience a suscité plusieurs curiosités. En effet , très tôt ce jour , un homme en costume noir s’engouffra dans le bureau du président de la cour d’appel où après plus d’une heure ce dernier sortira et se dirigera vers la salle d’audience, en direction d'une Soeur d'Eglise condamnée, assise au fond de la salle. Ce dernier tapota son épaule( comme pour dire c’est réglé ) et sortira de la salle pour s’évader dans la nature .
Quelques instants après , le rôle de l’audience fut annoncé et curieusement c’est le président de la cour d’appel lui-même en personne qui s’afficha comme président de cette collégialité et prononçera la décision qui tombera comme un couperet : acquittement de deux des mises en cause, maintien de la condamnation du greffier mise en cause et annulation de l’acte original de l’enfant .
Plus grave encore, aucun détail ne filtre sur l’exigence du retour du nom de l’actrice principale dans l’affaire comme exiger dans nos différentes conclusions en réplique.
Le magistrat motivera sa décision par un faux motif que le père de l’enfant était absent à l’établissement de l’acte de l’enfant sans aucune preuve de cette absence.
On se pose donc la question si les deux institutions travaillent avec deux codes pénaux différents, les deux magistrats ne sont-ils pas sortis de la même école ?
Ses deux questions au sujet des deux décisions diamétralement opposées des juges permettent directement de comprendre qu’il Ya eu un troisième larron dans l’affaire :
LA CORRUPTION
D’ailleurs cette décision provoquera une grande stupéfaction des fonctionnaires de la cours d’appel chez qui l’affaire avait suscité l’émoi et une profonde compassion et Un d’eux déclarera sous anonymat : MON FRERE NOUS PENSONS SOUVENT QUE NOTRE BOOS EST CLEAN MAIS DANS CETTE AFFAIRE JE T’ASSURE Qu’il a trempé. Tout le
monde est étonné de cette décision.
Le pauvre père de l’enfant se retrouve jusqu’à ce jour sans le moindre contact de sa progéniture depuis 2012, LA JUSTICE DE SON PAYS A LIVRER SON ENFANT EN EUROPE A travers un magistrat ripoux
L’affaire étant envoyé à la cour suprême et les mêmes accusés le narguent en disant : tu perds ton temps, où est ta cour suprême depuis 2019 ? Ils ont peut-être raison car voici 5 ans que la cour suprême reste muette dans cette flagrante affaire.
Cette histoire triste témoigne à suffisance les écueils d’une justice avec des magistrats ripoux sensés dire le droit pour protéger les camerounais mais qui ont plutôt choisit de dire un autre droit pour sécuriser leur poche, pour abonder dans le sens de Maître Timbane, les magistrats ripoux représentent un véritable danger pour le Cameroun.
Tous ces ripoux doivent comprendre qu’il arrivera un jour où la loi OUTRAGE A MAGISTRAT qu’ils agitent comme une épée de Damoclès sur les têtes des camerounais pour les dépouiller de leurs droits des plus fondamentaux aux plus élémentaires , eh bien cette loi deviendra un jour OUTRAGE A PEUPLE et ce peuple meurtri vous cherchera jusqu’à vos derniers retranchements.
Les camerounais ne sont pas dupes. le problème du Cameroun c’est n’est pas Paul Biya mais ses magistrats véreux qui ont transformé leur serment en doctrine capitaliste, prédatrice du peuple, empêchant au passage aux investisseurs étrangers de se déployer dans le pays a l’effet de recruter les pauvres camerounais qui pour beaucoup forcé par la misère commettent des délits que les mêmes juges sautent sur eux et les placent en prison laissant en libertés les bandits a col blancs et les dangereux braqueurs en libre circulation pour leur avoir rempli les poches.
Nous suggérons au président de la république de faire une purge dans la magistrature pour extraire les mauvais grains.
Le pauvre papa dépouillé de son fils dit garder quelque bible de confiance quant à l’issu de la procédure a la cour suprême mais affirme tout de même avoir quelque craintes quant au dénouement de son affaire dans la plus haute juridiction du pays au regard du délai de 5 ans déjà passe à attendre cette dernière alors qu’il reste sans la moindre trace de sa progéniture a la filiation complètement détruite (Faux acte de naissance utilisé pour son exfiltration annulé en instance, acte original annulé par la cours d’appel de l’ouest).
Face à cette terrible situation d’attente et à la perte de la trace de son fils depuis 2012, le pauvre père de l’enfant choisi de saisir l’ONU contre la justice de son pays face à cette situation car il faut retrouver la trace de l’enfant et peut être via l’ONU l’accorder un statut d’apatridie car a ce jour sur le plan du droit l’enfant ne jouit d’aucune filiation à ce jour à cause d’un magistrat ripoux
Pour la gouverne des lecteurs le haut magistrat incriminé s’appellerait MBOMMO FRANCOIS XAVIER PRESIDENT DE LA COUR D’APPEL DE L’OUEST.
Dit-on souvent le magistrat devant une décision n’a que sa conscience et la loi mais au Cameroun, les ripoux ont décidé de dire le droit sur la base de leur degré de boulimie financière et de leur niveau de perfidie. Voilà un homme qui qui étant père d’enfant et même petit fils peut être, peut prendre sur lui de pondre une décision pour livrer un fils d’autrui en occident.
Quand la justice décide de livrer nos enfants au prix des enveloppes de dessous de tables, on entre dans une justice injuste au sens propre du terme et même votre loi d’outrage à magistrat ne nous fera pas taire. Nous irons jusqu’au bout !!!!
Mr Mbommo François Xavier, vous élevez bien vos enfants et vos petits-enfants, sachez bien que le mien est sans trace depuis votre décision de juin 2019. Merci !!!
Mr Mbommo , savez-vous que votre décision motivée par le gain a jetée du discrédit grave sur la justice du Cameroun auprès d’un pays européen ou une instruction avait été ouverte au sujet de la même affaire ???( 02 décisions contradictoires venant d’une même institution pour une affaire de flagrant délit de faux en écriture publique)
Savez-vous que votre décision a jeté le floue total auprès dans cette procédure jusqu’à ce jour ou l’enfant est sans filiation ?
Mr Mbommo , vous pensez avoir une justice camerounaise dans vos poche , une justice devenue votre comptoir commercial ou au mieux un lieu de vente aux enchère attendant le plus offrant mais sachez-le , il existe une justice camerounaise avec des magistrats comme celui de l’instance à Dschang qui disent le droit au nom du peuple , nous ne vous laisseront pas traîner cette justice dans la boue et vous devriez tôt ou tard répondre de vos actes .
Mr Mbommo , pouvez-vous m’expliquer quel code de procédure pénale vous autorise dans une affaire de faux en écriture aussi flagrant , de fermer l’œil sur la donneuse d’ordre( mère de l’enfant ), d’acquitter les témoins condamnées en instance , de condamner uniquement le signataire du faux document ( greffier) . Sans doute le pauvre greffier n’avait pas pu vous soudoyer pour obtenir son acquittement comme les autres.
Mr Mbomo, de plus les multiples conclusions en réplique à vous envoyées dans le cadre de cette affaire a l’effet d’attirer votre attention concernant l’omission du nom de la principale accusé(mère de l’enfant donneuse d’ordre du faux jugement supplétif ) n’ont pas entamées votre détermination à noyer le droit dans cette affaire
De même , un procès-verbal d’audition de l’officier d’état civil par un Huissier dans lequel l’officier d’état civil précisait avoir établi l’acte de l’enfant en présence des deux parents de l’enfant.
Sans oublier un deuxième procès-verbal d’audition par un huissier de justice de la directrice de l’école où l’enfant fut inscrit par la grande sœur de sa mère sur la base du dit acte de naissance dont elle ne reconnaît plus , la directrice précisera dans son procès-verbal avoir inscrit l’enfant sur présentation de cet acte de naissance et non d’un carnet de vaccination comme ses derniers la pressent de déclarer en cas d’une éventuelle enquête contre une forte récompense .Elle restera intransigeante et produira ses déclarations consignées dans le procès-verbal a l’effet de vous éclairer.(l’acte de naissance dont la mère de l’enfant prise la main dans le sac pour son faux en écriture a l’effet de flouer l’ambassade sur la question de l’autorisation du père de l’enfant, ne reconnaît plus eh bien elle est celle-là qui avait confier l’enfant a sa grande sœur avant son départ vers l’Europe des années avant avec tous ses document y compris le même acte qui fut utilisé pour son inscription à l’école dont la directrice a produit un procès-verbal Y afférent) mais vous avez choisi de mettre tout de coté au gré du volume des euro dollars qui tournoyaient devant vos yeux et dont vous avez sacrifier cet enfant pour gonfler vos poches tout en fermant l’œil sur un groupe de faussaire qui n’avait leur place qu’en prison. Voilà la justice selon votre logique !!!
Mr Mbomo , vous êtes un magistrat ripoux et vous ne méritez pas la confiance du président de la république qui vous a nommer et devrait vous déposez le plus vite possible afin d’éviter que vous ne faites de nouvelles victimes .
Si vous estimez être offensé, exprimez votre droit de réponse et je vous répondrai, vous connaissez de quel affaire il s’agît et de qui il est question.
On ne commente pas les décisions de justice, mais quand elles sont rendues par un magistrat ripoux, on est en droit de le faire à l’effet de prendre l’opinion national a témoin.
Aux dernières nouvelles, sur le deux dossiers pendantes a la cour suprême du Cameroun, dossiers intimement lié, (dossier du droit local concernant l’annulation de l’acte no……. Et le dossier en criminel pour les mises en cause excepter curieusement la mère de l’enfant, la cour suprême a prononcée en date du …….. une déchéance pour le dossier du droit local au motif curieux du dépôt tardif du mémoire ampliatif) joint pour des explications, l’avocat dira que ce défaut de délai dont on les accuse est discutable puis qu’il s’étale sur un jour coincé entre le passage a une nouvelle année.
C’est donc à se demander quelle sera l’issue du dossier en criminel, et si la cour suprême, condamnait les mises en causes, comment se fera donc la réparation du préjudice qui implique aussi le rétablissement de la filiation de l’enfant.
Cette justice qui dit tout sauf le droit, sera amenée à répondre auprès de l’ONU et j’ invite d’ailleurs les Camerounais dont leurs droits mêmes les plus élémentaires sont confisqués au quotidien à suivre mon exemple en remontant les dossiers à l’ONU.
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