L’Honorable Albert Dzongang réagit à la sortie d’Atanga Nji
CAMEROUN :: POLITIQUE

CAMEROUN :: L’Honorable Albert Dzongang réagit à la sortie d’Atanga Nji :: CAMEROON

Atanga Nji mu par son zèle maladif habituel, a dans sa dernière note, cru bon de repartir le Cameroun selon les catégories suivantes:

  1. Les Régions susceptibles de revendiquer leurs droits: Le centre le littoral et l’ouest;
  2. Les Régions gâtées et fières du régime en place: Le sud et l’Est;
  3. Les Régions neutralisées en voie de suppression de la carte du territoire national: Le Sud-Ouest et le Nord-Ouest;
  4. Les Régions inoffensives et soumises: le grand-nord.

Dans sa petite méprise de la colère populaire qui traverse toutes ces régions, il ne se doute pas que le danger viendra de là où il s’attend le moins du monde. Car bien qu’ayant passé leur règne à considérer les populations du Nord comme étant de simples moutons à leurs yeux, il faut peut-être leur rappeler qu’il y a également des « boucs cornus » désormais prêts à défendre « les moutons » dans ce septentrion socle de toutes les misères.

Dans le NOSO en dépit des massacres barbares, il y’a encore des âmes qui vivent et qui sont sensibles à l’idéal de paix porté par Maurice Kamto; au Sud et à l’Est il y’a plus de malheureux que de contents en réalité. C’est bien sous leurs yeux que le régime auquel appartient Atanga Nji pille leurs forêts et leur sous-sol sans leur offrir la grâce de bénéficier ne serait-ce que de tables bancs pour leurs enfants qui fréquentent sous des pailles lorsque l’école n’a pas lieu à l’air libre.

Le danger viendra de là où Atanga Nji s’attend le moins. Le 22 septembre c’est le déclenchement de la révolte de 99% d’opprimés contre 1% de pilleurs et d’oppresseurs . Le sort de la dictature est scellé !

J’invite le peuple camerounais à ne pas se laisser intimider par les folies de son bourreau qui sont dues au fait qu’il a finalement pris conscience que le pouvoir, le vrai pouvoir ne lui appartient pas. Il panique et l’écho pleurnichard de ses criailleries ne doit pas freiner l’élan qui est celui du peuple. Le moment est si propice que ce serait un péché capital de donner du répit à cette dictature affolée. J’en appelle à la rage de se libérer.

On n’effraie pas un cadavre avec le cercueil. La prison nous la connaissons les balles sont le quotidien de nombreux camerounais. Le peuple uni n’a jamais perdu une guerre.

Lire aussi dans la rubrique POLITIQUE

Les + récents

partenaire

Vidéo de la semaine

évènement

Vidéo


L'actualité en vidéo