La liste des neuf entrants est connue. Du coup, la toile s’est embrasée.  

La toile prise d’assaut
La loi Camerounaise recommande que la campagne comptant pour la présidentielle s’ouvre deux semaines avant la date du scrutin. Peu importe. Déjà, après la proclamation de la liste des neuf, la campagne est insidieusement lancée. Les nouvelles formes de communication aidant. Il faudra désormais s’y habituer. Les états major des partis se sont mis en branle pour occuper ce nouvel espace de communication.

Akere Muna : trouver un dénominateur commun.

Déjà, sur la page facebook du candidat Akere Muna, on peut lire « J’avais déclaré l’intention d’être candidat, maintenant, je le suis » Le candidat Front Populaire pour le Développement (FPD),  déroule son programme « j’ai à présent une double mission. La  première est de dire aux Camerounais que le changement qu’ils recherchent est à leur portée » La seconde mission du candidat Ekere Muna vient donner une réponse  à la problématique du candidat unique de l’opposition. Il lance un appel aux autres candidats de s’ « asseoir pour trouver un dénominateur commun »

Joshua Osih : union des forces du changement.

Joshua Osih du Social Democratic Front (SDF) est là. Il vient « confirmer sa candidature pour la présidentielle 2018 »  Pour un peuple qu’il veut debout. A travers la bataille que mène  le « parti du changement » pour assurer  une indépendance totale de élections Cameroun, l’organe chargée des opérations électorales pour des élections libres. Le candidat appelle à la mobilisation dans le cadre de l’ « union des forces du changement » un rassemblement de ceux qui ne veulent pas mendier la paix. Il rêve d’un Cameroun ou règne « l’égalité des chances et la justice sociale, un pays ou tout le monde à droit au progrès et au bien être »