Suite à son soutien à Amougou Belinga, Boris Bertolt, suspendu de l'inter- diaspora combattante
FRANCE :: DIASPORA

FRANCE :: Suite à son soutien à Amougou Belinga, Boris Bertolt, suspendu de l'inter- diaspora combattante

Le lanceur d'alerte camerounais exilé en France, Boris Bertolt, suspendu du mouvement de la Diaspora combattante camerounaise. La décision fait suite,  au selon le communiqué parvenu à notre rédaction, au soutien de l'activiste des réseaux sociaux, à son soutien à Jean Pierre Amougou Belinga, principal suspect parmi les commanditaires de l'assassinat du journaliste Martinez Zogo.

Lisez plutôt l'intégralité du communiqué parvenu à notre rédaction.

"COMMUNIQUÉ DE PRESSE  N° 001/0223 

SUSPENSION À TITRE CONSERVATOIRE DE BORIS BERTOLT  ET CONVOCATION À UN CONSEIL DE DISCIPLINE DANS LE CADRE DES ACTIVITÉS DE LA DIASPORA COMBATTANTE CAMEROUNAISE

Nous, Diaspora Combattante Camerounaise, avec stupéfaction et étonnement, avons fait le constat d'un certain nombre de prises de position très alambiquées de Monsieur Boris BERTOLT, lanceur d'alerte et cyber-journaliste, considéré comme un Camarade de lutte au sein de la Révolution Camerounaise en Diaspora.
Ses multiples accointances avec les différents milieux du régime dictatorial et génocidaire camerounais, notamment dans :

- La sphère politique où son copinage avec certains pontes du régime devient de plus en plus inquiétant

- La sphère des Forces de défense et des Renseignements généraux dont une preuve patente nous a été révélée par la fuite de l'audio d'une conversation très intime de ce dernier avec le colonel Bamkoui chef des Renseignements militaires, réputé être le super-bourreau des combattants de la liberté au Cameroun. Ledit Colonel et chef des RG qui malgré cet impair est curieusement toujours en poste et s'apprêterait à endosser le costume de l'assassin Maxime Eko Eko à la tête d'une DGRE dont le régime sanguinaire de M. Biya a réussi l'exploit de la transformer en un outil de répression intérieure

- La sphère des milieux d'affaires, où nous, la Diaspora Combattante Camerounaise, avons vécu en direct le secours qu'il a apporté à Amougou Belinga qu'il venait de rencontrer à l'hôtel Georges V à Paris le 30 novembre  2021. Alors que cette personnalité crapuleuse, haineuse, génocidaire et irrecevable  était pratiquement cernée par nos Combattant.e.s de la BAS, c'est Monsieur Boris Bertolt, encore sur place, qui lui avait permis de prendre la poudre d'escampette en sautant précipitamment dans un taxi

- Et enfin une certaine sphère journalistique avec laquelle il excelle ces derniers temps dans des publications allant dans le sens de démentir toute information accablant le clan Amougou Belinga... y compris en essayant de remettre en cause une enquête fiable de RSF (Reporters Sans Frontières) qui repose pourtant sur un aveu manuscrit et signé du Lieutenant-colonel Justin  Danwe.

Aujourd'hui encore, l'acharnement du même Camarade Boris BERTOLT contre un autre Camarade de lutte JP  Remy NGONO, célèbre journaliste d’investigation de rang international dont l'endurance, la perspicacité, la pertinence et la constance dans la lutte pour la démocratie, la justice, les libertés et l'État de droit au Cameroun et ailleurs… sont unanimement saluées par l'ensemble de la Communauté nationale et internationale. 

Fait encore plus grave, l'enlèvement et l'assassinat odieux de Martinez ZOGO dont Monsieur Boris BERTOLT s'est évertué à nous flouer sur le triste événement en arguant que c'était une fugue délibérée. Banalisant au passage le calvaire qu'était en train de subir Martinez ZOGO à travers les affres de ses ravisseurs, alors même que la criminologie nous enseigne que les premières heures, voire premiers jours d'un enlèvement perpétré sont déterminant.e.s pour la survie de la victime.

Fort de tout ce qui précède, la Diaspora  Combattante et Révolutionnaire, dans le cadre de ses activités, prononce une suspension à titre conservatoire à l'encontre de Monsieur Boris BERTOLT en attendant la tenue d'un conseil de discipline y afférent.

Fait à  Bruxelles, Berlin, Genève, Madrid, Montréal, Paris, Rome, Washington, le 23 février 2023

Pour l’INTER-DIASPORA COMBATTANTE :

- La BAS
- Les AMAZONES
- Les BOBBI TANAP
- Le CCD (Conseil des Camerounais de la Diaspora)
 
Ampliation :
 
International Amnesty
Human Rights Watch
FIDH, RSF"

Lire aussi dans la rubrique DIASPORA

Les + récents

partenaire

Vidéo de la semaine

évènement

Vidéo

L'actualité en vidéo