Sur l'expression de la colère des Peuples.Jamais un Peuple conséquent et citoyennement agissant en colère, ne choisit la chambre , la cuisine, le bureau, l'atelier... ; il ne choisit pas pour lieux essentiels de son expression entre autres, les plateaux audio et télévision comme cela est devenu constant au Cameroun.

Car, nous continuerons à le prêcher contre vents et marées, à temps et à contre temps et ce jusqu'à être un jour compris, n'en déplaise à qui que ce soit que :

Démocratiquement parlant, les lieux indiqués privilégiés où doit être étalée l'expression de la colère ou de l'indignation légitime justifiée d'un Peuple à citoyenneté assumée s'appellent la RUE et tout autre lieu public propre à accueillir autant de monde que possible et à rendre plus visible la détermination des indignés agissants.

En ce moment et en toute lucidité, qui peut validement soutenir que les Populations Camerounaises dans leur globalité ne sont pas en droit d'exprimer une colère de plus en plus aiguë et sans peur désormais de mieux en mieux individuellement exprimée ?

Que ce dernier ou cette dernière lève la main droite et dise "me voici".

Et l'absence de légitimité de ''qui on sait'' au prisme de l'élection présidentielle PARTIELLE somme toute du 7 octobre 2018 du fait justement, en prime, de la non tenue du scrutin indiqué dans tout l'ancien Cameroun occidental à conditionnement colonialiste culturel et linguistique à l'anglaise ne viendrait-elle pas dans les jours, mois ou années futurs, cette goute d'eau qui fait déborder le vase au moment où viendrait à coût sûr le terme de cette forme manifeste d'envoûtement collectif des populations de notre 237 local ?

C'est demain que cette interrogation pourrait trouver une approche de réponse.

Sur le sujet ici traité, des invectives, des engueulades ou des injures entre autres sont écluses, parce que, justement, illégitimes et donc, irrecevables. ''Arguments face à arguments'' ou silence !