Dans le grand village qu’est Paris et sa banlieue, il se livre chaque semaine, une guerre froide et sournoise entre les organisateurs dit de la diaspora, entre-eux d’une part, et entre eux et les différents prestataires d’autre part.

Cette lutte  de caïmans de marigot dessert aussi bien le monde
De la culture que ceux-là sont censés défendre que le public camerounais
Qui doit se contenter des plateaux que lui offre ces organisateurs,
Malheureusement l’amateurisme est le maitre mot de ces Hommes au col blanc,
Soucieux de promouvoir plus leurs images que celui des artistes.
Organiser un évènement suppose un certain sens du professionnalisme,
Un respect des artistes et des prestataires,
Un savoir-faire qui ne devrait laisser place à aucune discrimination tribaliste, ni à aucun copinage.
 
Réussir un évènement, à Paris, à New-York ou à Douala, impose une certaine humilité, une dose de vision
Et surtout une équipe solide, compétente où l’animosité et la jalousie ne doivent pas être les ingrédients de la réussite.
 
Le risque que courent ces fossoyeurs de la diaspora, c’est de s’installer durablement dans la médiocrité, d’être incapable
De se remettre en cause et faire fuir ce noble public camerounais vers d’autres espaces plus glamour, plus chic et plus excellent.
 
Sopieprod continuera à dénoncer l’esprit d’amateurisme et de division qui règnent dans certains milieux parisiens,
Les artistes méritent plus de respect et de considération
Les prestataires souhaitent plus de respect et d’implication dans le respect de leur travail
Le public aspire à plus de respect de leur désir et non de servir de pompe à fric à des pseudo marchands de rêves.
 
Chez Sopiprod, heureusement que le monde ne se limite pas au village des gaulais
Chez Sopieprod, point de place à l’amateurisme, à la calomnie, que chacun prenne et assume ses responsabilités,
Chez Sopieprod, le monde est grand et les expériences des autres pays devraient aider les caïmans de Paris à plus de grandeur.