Cameroun, Thé citoyen: Déclaration de la candidature de Dr Hilaire Kamga aux présidentielles 2018
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Cameroun, Thé citoyen: Déclaration de la candidature de Dr Hilaire Kamga aux présidentielles 2018 :: CAMEROON

"​ Je saisi cette occasion pour annoncer enfin officiellement que je suis candidat à l’élection présidentielle de 2018  où je représenterai, la société civile et l’ensemble des combattants de la liberté qui se battent depuis 1992 pour le balayage de ce système néocolonial asservissant de Yaoundé.  Oui j’ai accepté l’appel pressant et insistant de ces millions de jeunes hommes et femmes, du Cameroun et de la diaspora qui depuis 2010, veulent une véritable Révolution au Cameroun. Je serai le candidat de la Révolution ​"​ .

Thé Citoyen à la presse

CAMEROUN : ELECTIONS 2018 ET PERSPECTIVE DE VICTOIRE DES FORCES DE CHANGEMENT

« Elections 2018 et enjeu de la Masse Critique électorale suivant l’Orangisme : les clés pour un changement réel ».

Date: Mercredi 13 juin 2016

Propos Liminaires

Cher(e)s compatriotes, Cher(e)s citoyennes citoyens,

Au nom des citoyens de la dynamique Orange, je vous remercie sincèrement d’avoir répondu présent à notre invitation et d’être présents ici ce jour, en ce moment déterminant de notre histoire, de l’histoire de notre Nation.

Oui, en vérité en vérité, je vous le dis, l’heure est grave… très grave même. Le Cameroun traverse un moment déterminant de son histoire. Et Bill Clinton ne croyait pas si bien dire lorsqu’il déclara que « quand histoire et espoir se rencontre, il faut en saisir le sens, comprendre la singularité du phénomène et définir les axes d’actions gagnantes au vu des opportunités offertes par cette rencontre ». Oui quand histoire et espoir se rencontrent, nous avons le devoir d’agir en toute lucidité, mais surtout en toute efficacité. C’est cela notre ambition, notre légitime ambition de saisir l’opportunité historique, et transformer l’espoir subséquente du peuple en réalité, en victoire, en Changement véritable.

Oui, Oui, en vérité en vérité, je vous le dis, nous avons découvert et compris notre ambition, et fidèle à l’assertion Fanonienne, nous allons l’accomplir et non la trahir. J’en ai fait le serment il y a 25 ans, et je le réitère aujourd’hui. Aucune force, aucun groupe, aucun lobby, ne saurait me faire changer… cet engagement individuel est aussi collectif car il est au fondement et à la réalisation et à l’implémentation de l’Orangisme qui est notre idéologie de rupture : l’idéologie de la révolution pacifique que nous conduisons doucement, mais surement.

Dans un contexte, où le pouvoir dictatorial s’est enraciné en fondant sa stratégie opérationnelle sur le postulat de l’amnésie générale des populations, nous avons le devoir de garder le cap, d’assurer la sentinelle et d’édifier de manière permanente le peuple sur les enjeux, sur les acteurs, et sur les phénomènes de nature à impacter la longue lutte vers l’alternance ; cette lutte pour la libération totale de notre cher et beau pays. Cela est d’autant plus important que le contexte marqué par des multiples

crises nous interpelle. La crise liée à la lutte contre la secte terroriste Boko Haram, la crise dans les régions Anglophones et la crise ayant mis à nu un système électoral dédié à la validation des hold-up électoraux, avec notamment l’usage potentielle de la 33ème technique de fraude électorale (TFE). La 33ème TFE étant celle qui consiste à se servir de l’organe en charge de proclamation des résultats pour s’attribuer légalement une victoire que l’on n’a pas eu par les urnes. L’histoire récente du processus démocratique dans certains pays en Afrique centrale montre comment un organe constitutionnel aux ordres peut inverser les résultats sortis des urnes.

Pourtant avec des urnes empestées, l’on aura de la peine à attendre des élections démocratique en 2018. Il n’y qu’à considérer la double hypothèque aujourd’hui perceptible.

La double hypothèque sur une élection démocratique en 2018.

Il est clair que le seul souverain reste le Peuple, qui délégué cette souveraineté par voie d’élections démocratique. Or pour être démocratique, une élection doit être juste, libre, transparente et régulière, ceci un cadre juridique qui est l’aboutissement d’une dynamique consensuelle. Si les élections ne remplissent pas ces conditions, le peuple souverain est dans son droit de refuser toute cession de la Souveraineté. Malheureusement le Système électoral Camerounais est loin de remplir ses conditions dès lors qu’il adossé sur un code électoral imposé et totalement antidémocratique d’une part, et sur un organe de Gestion des Elections dépouillé de toute crédibilité.

Cette hypothèque née du système électoral, vient s’ajouter à une autre déterminée par le contexte sécuritaire marqué la guerre qui secoue les régions anglophone du Cameroun. Cette guerre née de la méchanceté du régime de Yaoundé qui face aux revendications légitimes des citoyens a décidé d’opposer une force totalement disproportionnée avec au bilan des centaines de civils tués, des milliers de réfugiés, des dizaines de milliers de déplacées internes, des dizaines de nos soldats tués, des violations massives des droits de l’homme avec la généralisation de la torture, des traitements cruels, inhumains et dégradants, et même des exécutions extrajudiciaires. Après 10 jours passés dans ces deux régions, j’ai pu comprendre le sentiment d’un peuple qui se considère comme prisonnier du Pouvoir « Francophone », un peuple meurtrie par la guerre, mais déterminé. Est-il simplement possible d’envisager une élection crédible dans ces régions sans pacification ? Non. Or Cette pacification ne saurait se faire par la Force, elle le sera par le Dialogue ou ne sera pas. Le régime de Yaoundé doit une fois pour toute accepter l’évidence de l’impératif du dialogue direct avec les leaders anglophones.

Cela est indispensable pour la crédibilisation de tout processus de dévolution du pouvoir et donc de toute élection.

Mais si le régime de Yaoundé s’entête à aller aux élections sans résoudre ces préalables, nous avons le devoir d’explorer d’autres voies pour ne pas laisser le peuple orphelin. La dynamique révolutionnaire doit s’adapter à toutes les situations. Nous en avons la responsabilité.

Oui, en vérité en vérité, je vous le dis, ce peuple qui voudrait se prononcer par les urnes n’a qu’une seule attente : la libération. Oui il veut se libérer du Régime de type néocolonial qui l’asservit depuis plus de 50 ans. Il veut se libérer de cette prison de 475 000 km2 dans laquelle le pouvoir de Yaoundé le comprime depuis plus de 36 ans. Oui, il veut se libérer pour asseoir de manière endogène son vivre ensemble, pour définir de manière souveraine la gestion de ses ressources, pour enfin jouir des énormes potentialités que regorge leur pays. Mais, ne nous méprenons pas. Ce peuple est un peuple avertit, un peuple combattant, un peuple qui a consenti d’énormes sacrifices pour non seulement l’Indépendance (années 50 à 60), mais aussi pour acquérir les libertés (années 90). Ce peuple souverain ne veut pas simplement d’un changement d’homme à la tête du pays, mais d’un Changement RADICAL de système, de régime… d’une rupture totale avec le néocolonialisme.

Nous avons le devoir d’écouter, de comprendre ce peuple, et de lui donner la réponse, la vraie réponse ; ceci en nous éloignant des chemins qui pourraient conduire à la perpétuation du régime asservissant en place mais sous un leadership nouveau.

Chers citoyens, chers compatriotes,

Voilà pourquoi l’Orangisme propose un package gagnant garantissant la rupture totale avec le pouvoir néocolonial.

Le package gagnant. La Rupture avec le pouvoir néocolonial

Oui, en vérité en vérité, je vous le dis, pour assurer une victoire réelle au peuple combattant, il faut nécessairement se départir des logiques messianiques pour construire une dynamique d’unification des véritables forces de changement dans la perspective du développement d’une véritable Masse critique électorale (MCE)

Dans l’ouvrage «Cameroun l’offre Orange pour l’alternance, notre légitime ambition pour le Pouvoir, la Nouvelle Génération s’engage » que nous avons publié en 2009 sous la préface du Cardinal Christian TUMI, nous avons mis en exergue la légitimité de l’ambition, comme donnée fondamentale et quintessentielle de l’être humain. Nous trouvions alors en l’ambition, une dimension positive à valoriser. Pour autant, cette ambition dévient néfaste lorsqu’elle se singularise et se positionne en exclusivité.

En effet, la vacuité renforcée de l’univers politique, prégnante depuis l’élection présidentielle de 2011, a favorisé l’irruption de nouveaux ambitieux politiques aspirant naturellement à l’unique fauteuil présidentiel. Si le sérieux de certains ne fait l’objet d’aucun doute, la fanfaronnade de quelques aventureux pollue la compétition, et in fine décrédibilise la lutte légitime pour le «balayage» du Régime Néocolonial. Tout ceci n’aurait constitué aucun problème réel si certains ne s’illustraient pas par des postures messianiques, induisant de fait de logiques totalement opposées aux

dynamiques de Coalition indispensable pour vaincre la machine de fraude électorale développée et perfectionnée depuis 1992.

Nous avons pour cela développée un modèle gagnant dont les fondamentaux sont la MCE, la solution 22 et l’impératif de la période de transition de 04 ans.

a) Les logiques messianiques condamnables

En effet, face à un régime trentenaire, piloté par un président octogénaire, les micro-entités systémiques générées par la logique clientéliste du pouvoir de Yaoundé, se positionnent pour confisquer par tous les moyens, tout processus d’alternance tant attendu. En face, les partis politique de l’opposition et les forces dites du Changement peinent à construire une dynamique collective de nature à fédérer les énergies dans une perspective de prise de pouvoir. Dans ce schéma, on assiste en cette veille d’élection, à l’émergence d’une vague de leaders, certains habités par des logiques messianiques qui naturellement s’opposent fondamentalement à la logique de convergence des forces du Changement.

Pourtant, il est démontré que la principale solution pour conduire à une alternance démocratique assurée dans un contexte de déni démocratique comme le nôtre, reste la construction d’une MCE tel que développée dans l’ouvrage suscité.

b) La Masse Critique Electorale (MCE)

Je définirai ici la masse critique électorale comme étant le nombre minimum de citoyens-électeurs engagés suffisant pour peser sur les résultats d’une élection dans une localité et les faire respecter, ceci par le biais d’une mobilisation pour non seulement aller s’inscrire et voter, mais aussi et surtout pour défendre le résultat de leur vote contre toute tentative de fraude. Il s’agit du minimum de citoyens suffisant pour bloquer un processus de fraude électorale ex-post et si nécessaire récupérer la Souveraineté qui appartient au seul Peuple..

Dans une circonscription de 3000 électeurs par exemple, 500 électeurs engagés peuvent constituer la masse critique électorale. Il faut dans cette définition, distinguer l’électeur engagé de l’électeur passif. Les électeurs passifs ne pouvant se muer dans la masse critique que dans le cadre d’un phénomène postélectoral d’entraînement. L’absence d’une telle masse critique favorise naturellement, la mise en œuvre de toutes sortes de techniques de fraude électorale.

Il convient aussi de préciser ici que la MCE peut générer une Masse Critique Citoyenne (MCC) nécessaire pour des révolutions populaires pacifiques. En effet, bien que le Corps électoral Camerounais n’ait jamais dépassé les 6000 000 d’électeurs, le Cameroun peut disposer d’une MCC de plus de 15 millions de personnes.

Le Cameroun en ce moment souffre du déficit de masse critique électorale et donc de masse critique Citoyenne. Les causes sont nombreuses et j’y reviendrais en cas de besoin.

Les adversaires de la démocratie ne réussissent à manipuler les consultations électorales qu’en l’absence d’un engagement réel et déterminé des Camerounais-électeurs.

Nous affirmons que là où l’engagement d’une partie importante des citoyens est réel (existence d’une masse critique électorale mobilisatrice), toute la machine de fraude peut être mise en déroute.

Pour autant, il faut distinguer ici la MCE Nationale (MCEN) de la somme des Masses Critiques Electorales locales (MCEL)

Quand les citoyens sont déterminés et engagés dans une localité, les chances de fraude s’amenuisent. Quand cet engagement produit une masse critique électorale suffisante, alors la fraude disparaît tout simplement. Mais cela n’est qu’une MCE locale (MCEL). L’enjeu pour une victoire nationale est l’agrégation des MCEL pour constituer une MCEN seule capable de vaincre la 33ème technique de fraude électorale.

J’ai encore en mémoire cette élection d’octobre 1992. Le peuple était déterminé. Le système électoral était plus poreux que maintenant. Les citoyens ont pourtant pu mobiliser la masse critique suffisante pour gagner l’élection par les urnes.

L’enjeu ici est de ramener le citoyen vers les élections en lui donnant les garanties qu’il n’y aura plus de possibilité d’escroquerie politique. L’élection pour l’alternance au pouvoir devrait être un exercice porté par l’ensemble des citoyens qui veulent un changement réel et incontournable

Nous devons ensemble constituer cette masse critique électorale indispensable pour la victoire finale.

Nous devons nous mobiliser, construire nous-mêmes la mécanique qui doit nous permettre, en tant que citoyens, de garder et de gérer notre souveraineté sans manipulation.

Nous devons mettre en place la stratégie de construction d’un leadership alternatif qui nous permettra de mettre en œuvre la Nouvelle République.

Nous devons faire la campagne de l’Espoir et du Changement, mobiliser l’ensemble des citoyens qui croient au changement en leur rappelant que c’est l’occasion rêvée pour donner une bonne leçon à tous ces prévaricateurs qui, depuis plus de trois décennies nous asservissent. Nous devons dire au citoyen qu’il ne s’agit pas de voter pour tel ou contre tel qui aurait quelques reproches, mais de voter pour la fin des misères individuelles et collectives.

Oui, nous pouvons le faire dans le cas de cette élection de l’alternance. Nous devons faire en sorte que le Cameroun soit comme Bamenda, Eséka, Douala 5ème ou Foumban où l’on observe régulièrement les développements des MCEL.

Oui il faut qu’une masse critique électorale nationale soit mobilisée pour barrer la voie aux fraudeurs.

Les forces de Changement que nous sommes, avons de ce fait l’obligation de construire une véritable Coalition des Forces du Changement, seule susceptible de nous produire la MCEN.

C) L’enjeu de la Coalition des Forces du Changement et La solution 22 (1+21) pour taire les égoïsmes

Oui, en vérité en vérité, je vous le dis, il n’y aura pas de victoire des forces du Changement sans une dynamique de coalition en 2018. C’est une responsabilité historique. Nous devons ravaler nos égos personnels pour écouter le peuple, ce peuple qui veut la victoire et non le meilleur score d’un « Messie ». Je suis particulièrement outré de constater que certains se sentiraient plutôt à l’aise d’être le 1er parmi les recalés, que d’être 5ème parmi les vainqueurs. Le peuple veut une démarche victorieuse, et l’unique c’est la Coalition qui conduit à la MCEN et qui résiste à la 33ème technique de fraude électorale.

Je sais que certains candidats sont prisonniers, peut être prisonnier de leurs appareils politiques. D’autres sont peut-être habités par des éléments que je me refuse de qualifier. Mais de grâce seule la libération compte. Ainsi donc, les égos personnels peuvent s’effacer quelques temps pour le salut du peuple.

Il est ici important de rappeler que la seule fois où le peuple a réussi à vaincre la machine de fraude du régime était en 1992. Cela a été possible grâce à une MCEN obtenu à la suite d’une Coalition des forces de Changement. Et cette Coalition gagnante n’a été possible que sur la base d’un accord de gouvernement partageant de manière intelligente le leadership post victoire. Malheureusement, la victoire obtenue dans les urnes a, grâce à l’action des forces contre-révolutionnaires ayant infiltrés et pris le contrôle de la direction de la lutte, fait l’objet de la 33ème technique de fraude électorale.

Aussi, nous suggérons la Solution 22 (1+21) qui permet une gestion collective du pouvoir de transition qui sera partagé entre un président de Transition (le N°1) et un Conseil National de Transitions de 21 membres (les 21). Ce modèle permet à tous les candidats du changement crédibles retenus, de s’accorder sur un mécanisme pour choisir le N°1, en admettant deux conditions fondamentales.

* Le N° 1 ne pourra pas participer aux élections post-transition après les 04 années

* Les 05 autres qui viendront après le N°1 seront automatiquement reversés dans le Conseil National de Transition de 21 membres.

Initialement, à sa conception en 2009, ce modèle faisait des primaires citoyennes la voie la plus crédible pour le choix du N°1. Mais au regard du temps et d’autres considérations conjoncturelles, nous suggérons entre autres possibilités des micros primaires dont les modalités seront proposées et débattues par les principaux leaders et leurs équipes techniques spécialisées en questions électorales.

a. L’impérative période de transition ; la Transition de 04 ans

Nous considérons dans l’Orangisme, qu’avec la situation actuelle du Cameroun, caractérisée par la vacuité statistique et l’impérative réconciliation nationale, il est impératif de passer par une période de Transition qui pourra être de 04 ans. En conséquence, je postule que toute personne qui fait abstraction à cette période d’audit du Cameroun par un leadership collectif voudrait, peut-être même inconsciemment, installer le Cameroun dans une autre forme de gouvernance d’opacité et in fine de tricherie politique.

Que faire ?

Je saisi cette occasion pour annoncer enfin officiellement que je suis candidat à l’élection présidentielle de 2018 où je représenterai, la société civile et l’ensemble des combattants de la liberté qui se battent depuis 1992 pour le balayage de ce système néocolonial asservissant de Yaoundé. Oui j’ai accepté l’appel pressant et insistant de ces millions de jeunes hommes et femmes, du Cameroun et de la diaspora qui depuis 2010, veulent une véritable Révolution au Cameroun. Je serai le candidat de la Révolution.

Puisque je sais qu’il faut Oser - ensemble nous allons oser le Changement.

Il s’agit d’une candidature naturelle et logique pour une génération qui se bat depuis 1990 pour le bien être du Cameroun.

Cette candidature Orange n’est donc pas une candidature de trop, mais c’est la candidature attendue.

Oui, en vérité en vérité, je vous le dis, je suis candidat pour la victoire contre ce régime. Mais s’il n’y a pas les conditions pour créer la MCEN, alors je n’irai pas aider à la validation du hold-up électoral en préparation.

Je m’engage donc dès ce jour à œuvrer pour l’effectivité de la MCEN et donc pour l’effectivité d’une Coalition des véritables Forces de Changement.

Je suis convaincu qu’il y a encore une chance, aussi infime soit elle, nous devons essayer. Si par extraordinaire, nous n’y parvenons pas, la révolution Orangiste continuera son chemin jusqu’au balayage totale du régime en place par toutes les voies légales que nous offrent aussi bien le droit national qu’international.

Et joignant l’acte aux mots, je vais dès demain matin proposer aux ainés citoyens Candidats déclarés Pr Maurice Kamto et Me Akere Muna, de convoquer une rencontre des forces du Changement dans les délais raisonnables, pour la définition des modalités du choix du 01 et pour la structuration de la Gestion de la Transition.

Le peuple attend et est pressé.

Nous devons répondre dans l’urgence pour accorder une chance au Changement.

Ensemble nous pouvons

Ensemble nous devons

Ensemble nous allons….. Prendre le pouvoir.

Vive l’Orangisme

Vive le Cameroun

Que Dieu vous bénisse

Hilaire Kamga

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