Arsène Tema Biwole, Un autre Camerounais à  la NASA
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Arsène Tema Biwole, Un Autre Camerounais À  La Nasa :: Cameroon

Encore un jeune Camerounais qui brille dans le ciel de la haute technologie planétaire tant il est vrai que la National Aeronautics and Space Administration (NASA) apparait comme le nec plus ultra dans le domaine de la technologie aéronautique et spatiale. Son  nom,  Arsène Tema Biwole, 26 ans en juin prochain.

Le spécialiste de science nucléaire qui emprunte résolument le sentier jadis pratiqué par le célèbre Dr. Ernest Simo (Camerounais, lui aussi et premier africain à intégrer la Nasa), démontre par son parcours, qu'à force d'abnégation, on peut réaliser le plus fou des rêves.

D'une enfance tout ce qu'il y a de précaire à Bafoussam, chef-lieu de la région de l'Ouest du Cameroun à l'Administration américaine de l'aéronautique et de l'espace, en passant par l'Université Polytechnique de Turin en Italie au sein de laquelle il a même enseigné, ou encore  la General atomic aux Etats-Unis où il effectue des travaux dans le cadre de la préparation de sa thèse de Maîtrise, sans oublier la Division de physique plasma de la société américaine de physique où il est le seul Camerounais à siéger, notre passionné de Physique,  a réalisé un véritable parcours du combattant avec pour seule et véritable arme la saine ambition de faire partie de ceux dont une communauté peut être fière.

« J'ai rêvé de devenir un jour physicien », explique celui dont le site afrotribune.com affirme qu'il étudiait la physique newtonienne près du feu de cuisine, à cause du manque d'électricité dans la maison. Et le diplômé en ingénierie nucléaire de l'Université Polytechnique de Turin de révéler « J'avais promis à ma mère que je la rendrais fière de moi ». Nulle doute que c'est bien là une promesse tenue par Arsène Tema Biwole, qui, en octobre dernier, a fait une présentation d'une quinzaine de minutes sur la régression multivariée non linéaire par intelligence artificielle pour les applications de fusion nucléaire, lors de la réunion annuelle de la Division de Physique Plasma organisée par la Société américaine de Physique en présence de nombreux scientifiques de renom.

« Je suis profondément honoré et heureux d'être le premier », avait  alors affirmé le jeune prodige camerounais qui a trouvé « une formule permettant de dévier les turbulences nucléaires », dont l'autre défi est d'"apporter de l'espoir aux jeunes du monde entier", et qui rêve de retourner dans son pays, le Cameroun, pour enseigner aux jeunes générations la physique.

Reste à espérer qu'il n'y sera pas enrôlé par les créatures de "l'apôtre de la nation gouvernante universitaire" pour enseigner que 32 gigas dépassent 500 gigas ».

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