LES LEADERS QUI PARTICIPERENT A LA REUNION RESTREINTE DE CONCERTATION POST-ELECTORALE DE L’UNION POUR LE CHANGEMENT AU DOMICILE DE FRU NDI APRES LES ELECTIONS DU 11 OCTOBRE 1992.

Suite à un article que j’ai publié récemment j’ai mentionné les noms des leaders qui ont participé à une réunion restreinte de l’UNION POUR LE CHANGEMENT pour déterminer la conduite à tenir en cas du vol de la victoire du candidat de ce regroupement tu partis politiques et association et envisager la formation d’un gouvernement de l’Union pour le Changement au cas où le vainqueur réel des élections, Fru Ndi, était porté au pouvoir.

Dans cet article, j’ai omis de mentionner le nom de certains participants et citer des personnes qui n’étaient pas à cette réunion comme participants.

La photo ci-dessus a été prise ce jour, et je vais, pour l’histoire, essayer de nommer les participants dont je me rappelle le nom.

Sur la photo datant d’octobre 1992 de gauche à droite nous avons :

Mme Alice Kom ou Mme Chantal Kambiwa ou Mme Noufele, Jacques Pahai, Same Mbongo (juste derrière feu Sengat Kouoh Francois), FEU Sengat Kouoh Francois, Talla Corantin alias General Schwarzkopt (Leader du Parlement des Etudiants Camerounais, placé juste derrière Sengat Kouoh Francois et entre Same Mbongo et Pr. Jean Michel Tekam, Pr Jean Michel Tekam(PSDC), Jean Michel Nitcheu (juste derrière Fru Ndi , président du RAP a l’époque, aujourd’hui député du SDF apres la fusion de son parti avec le SDF), John Fru Ndi (en gandoura, toujours président du SDF), Dr. Pierre Flambeau Ngayap (Président de la Convention Liberale (CL) a l’époque, aujourd’hui sénateur nommé de l’UNDP, derrière et entre Fru Ndi et feu Samuel Eboua), FEU Samuel Eboua(MDP), Pr Sindjoum Pokam (Vice-président de Cap Liberté, placé en arrière entre Samuel Eboua et Joe Litumbe), Joe Litumbe, FEU Suleyman Mahamat (Vice-president du SDF, en gandoura derrière MOUKOURI manga Bell), Moukouri Manga Bell (Ancien député SDF, je suis pas très sur si c’est lui)

Source : Archive personnelle de Corantin Talla

NB : Les jeunes doctorants camerounais en sciences politiques et en histoire qui m’envoient souvent des questions d’interviews de plusieurs pages doivent d’abord consulter les nombreux articles historiques que je publie dans les réseaux sociaux et ne m’envoyer que des questions pour clarification de certains faits historiques.