Belgique - Germaine Moné, présidente ASbL Kalara Belgique : "Merci de tout cœur à nos généreux donateurs d´ici et de partout"
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Belgique - Germaine Moné, présidente ASbL Kalara Belgique : "Merci de tout cœur à nos généreux donateurs d´ici et de partout" :: BELGIUM

Ils sont de plus en plus très nombreux, ces femmes et ces hommes qui acceptent d´associer leur image ou d´apporter leur précieux soutien à l´association á but non lucratif Kalara Belgique dans le cadre de l’amélioration des conditions de scolarisation en Afrique et au Cameroun, en particulier dans les zones rurales et enclavées! De l´artiste Sam Mbendè, aux anciens lions indomptables Joël Epallè et Maboang Kessack, en passant par les hommes d´affaires Arabo, Oswald Baboké et autres personnalités désireuses de rester anonymes, tous permettent á l´association de remplir sa mission humanitaire, arrachant ainsi la palme d´or de l´action sur le terrain, aussi bien en quantité qu´en qualité.

Germaine Moné, sa présidente, a le sourire large au moment de faire le bilan de l´année 2015, même si elle tient tout de go á préciser que les choses ne sont pas si faciles comme on pourrait le croire car, son équipe et elle doivent déployer des tonnes d´énergie pour aboutir au résultat palpable sur le terrain.

Quel bilan pour l´année 2015 qui s´achève, madame Germaine Moné?

Je voudrais tout d’abord vous remercier de donner à Kalara la possibilité de communiquer à propos de ses actions sur Camer.be. Nous avons très souvent été encouragés par vos lecteurs. Merci à eux.

Dans le souci d’apporter depuis 5 ans son soutien dans l’amélioration des conditions de scolarisation en Afrique et au Cameroun, en particulier dans les zones rurales et enclavées, l’association sans but lucratif Kalara a de nouveau mis les bouchées doubles tout au long de cette année afin de permettre à nos jeunes élèves de disposer de KITS SCOLAIRES.

Ainsi, 650 élèves du primaires des écoles rurales d’Ossim 2, Enangana Nord, Don ribouen, Nebolen, Village de la Paix, Bitanya, Nyamanga, Nitoukou et Rionnong dans les départements du Mbam et Inoubou et Mbam et Kim ont bénéficié en cette rentrée scolaire 2015-2016 de cartables, de cahiers, de bics, de trousses, de lattes, de craies, etc. Ce qui a constitué une bonne économie pour les parents qui ont parfois des difficultés à joindre les deux bouts. Les écoles ont été dotées d’une douzaine de grandes poubelles (bacs pour déchets) pour plus d'hygiène dans les écoles.

Nous avons également mis à leur disposition DES LIVRES DE FRANCAIS DU PROGRAMME SCOLAIRE(dons de livres et livrets en français du programme scolaire de chaque école pour un montant de 1200 euros). Nous avons privilégié les derniers de classe cette année. En particulier dans les classes de SIL et des cours préparatoires pour les dons de livrets d'exercices.

Kalara a été plus loin cette année grâce à vos dons qui ont permis la RENOVATION DE DEUX ECOLES PRIMAIRES RURALES : l'école publique d'Ossim 2 et celle d'Enangana Nord. Nous avons pu financer et suivre les travaux de cimentage du sol, le tôlage, le crépissage, la mise en peinture, etc. Le soutien des populations très motivées de ces villages a joué un très grand rôle dans l'aboutissement à temps de ces rénovations. Nous ne remercierons jamais assez tous les donateurs de Belgique et du Cameroun qui y ont contribué. Je pense entre-autres à Auguste Delfosse, au Molah de Bruxelles, à Joëlle de Conninck, à Nibombaré Daré et à tous les autres.

Il y a également eu le Projet Irène Kirwan dont les dons de ses collègues, amis et frères ont  permis la rénovation de l’école d’Enangana Nord. Je pense particulièrement à la société Afore Consulting. Les dons de Maude Florent ont permis d’acheter des cahiers et autres matériels au Cameroun. Le corps enseignant n’a pas été oublié : craies, bics, lattes, effaceurs, papiers A4, sacs, dictionnaires, livres divers et autres ont été offerts  afin de les motiver en ce début d'année scolaire.

LES ETABLISSEMENTS SECONDAIRES constituent aussi l’une de nos cibles principales.

Ainsi, les Lycée de Mbangassina, de Ndikiniméki, le Ces de Mereng ont bénéficié en tout de plus de 5000 livres (scolaires, romans, bandes dessinées, dictionnaires), classeurs, fardes, stylos rouges, craies etc.) et de 20 ordinateurs, dons du service informatique de l’UCL, via notre membre Samuel Béyé,

On note cette année aussi votre partenariat gagnant-gagnant avec l´association Grand-Mbam Belgique. Dites-nous comment en êtes-vous arrivé là?

En effet, nous avons réalisé un beau partenariat avec l’Association Solidarité Grand Mbam de Belgique. Tout cela est parti d’une rencontre fortuite avec l’un de ses membres, le Dr Emagna Maximilien, à qui j’ai brièvement parlé de Kalara. Il m’a dit qu’il est originaire du Mbam, et je lui ai répondu tout joyeusement que Kalara se rendrait dans leur région en septembre. Il en a parlé à l’association et le reste est allé de soi.

Il y a eu quelques grains de sable, car rien n’est parfait dans ce monde, mais tout a été résolu et l'association Solidarité Grand Mbam de Belgique a ainsi fait don de plus d'une trentaine de tables-bancs dans les écoles primaires. Kalara a parrainé ce projet en assurant sa mise en place, sa réalisation et la distribution de ces bancs dans les écoles via l'équipe Kalara Cameroun et Belgique. Cela a été un très beau partenariat, comme nous en avons eu auparavant avec la JECAB. J’invite ceux qui le souhaitent à ne pas hésiter à nous faire confiance, notre seul intérêt étant l’amélioration des conditions de scolarisation de nos enfants. Nous avons été heureux de ce partenariat et les membres de SGMB aussi.

Kalara est très active en Belgique à travers des actions comme le tournoi de solidarité Kalara, la journée de l´enfant africain. Pouvez-vous nous en dire davantage?

Kalara a son siège en Belgique (Anderlecht) et il est important de participer à la cohésion sociale et de promouvoir le vivre ensemble autour de nous. Kalara a aussi mené des actions en Belgique cette année:
-    Une chorale d’enfants qui n’existe pas dans notre commune a été lancée. Des répétitions ont eu lieu les samedis de janvier à Juillet 2015
 Une quinzaine d’enfants de 4 à 15 ans y a participé. Et deux mini prestations ont été réalisées pour la joie des enfants et de leurs parents. Nous comptons relancer ce projet bientôt.
 
-    Un diner-rencontre le 27 février 2015  en vue de récolter des fonds pour le projet livres et livrets du Programme scolaire primaire.

- Un Tournoi de solidarité Kalara parrainé par Joël Epallè (le parrain de Kalara) et Maboang Kessack le 02 mai à Bruxelles, suivie de notre traditionnelle Nuit Kalara. Nous tenons très sincèrement à remercier les personnes présentes lors de ces évènements car ce sont les fonds récoltés qui nous ont permis de concrétiser nos actions. Je voudrais leur redire qu’ils peuvent être fiers et heureux d’y avoir apporté leur pierre, chacun à son niveau.

Nous avons en outre commémoré la JOURNEE DE L'ENFANT AFRICAIN (qui se fête mondialement le 16 juin) par une après-midi festive dans la commune d'Anderlecht au quartier Scheut, avec des groupes de danses camerounaises, congolaises, des ateliers de grimages, de poterie, de djembés, une chorale d’enfants, un mini défilé de mode, etc, en partenariat avec diverses autres associations et avec le soutien du budget participatif de Scheut.

Une centaine de personnes d’origines sociales et culturelles diverses ont pu se rencontrer et tisser des liens et des partenariats. L’assiko a été entendu à Bruxelles, ainsi que le tam tam bamiléké et congolais. Les enfants ont été plus que jamais mis à l’honneur. C’était génial. Nous espérons continuer dans cette lancée l’année prochaine et y adjoindre un côté intellectuel, mini concours sur la connaissance de l’Afrique par exemple.

Outre leur image, qu´apportent ces illustres noms du football camerounais à l´association Kalara dans le cadre de son action humanitaire?

Ils apportent beaucoup à l’association, par leur renommée. Grâce à eux certains nous font davantage confiance et viennent à nos évènements. Ils font connaitre l’association à d’autres personnes. Ils aident financièrement quand ils le peuvent et mettent à disposition leur relation au Cameroun pour nous faciliter les déplacements dans les villages. Joël Epallè est la personne qui est présente quand les forces me manquent. Il sait me redonner de l’énergie. Je peux compter sur lui. Emmanuel ira plus loin dans son soutien à Kalara, nous en avons parlé. Ce sont des hommes de cœur.

Je tiens à noter qu’à côté d’eux, nous avons le soutien régulier de M. Arabo, DG d’Alliance Voyage plus au Cameroun, et qui met à notre disposition ses véhicules et ses chauffeurs. Nous n’y arriverions certainement pas sans le soutien de Monsieur Oswald Baboké, qui nous apporte un énorme soutien moral en termes d’encouragements, de conseils et du point de vue financier. Et surtout avec une grande simplicité et dans la sincérité. Les membres ne le remercieront jamais assez pour cela. L’une des icônes de la musique camerounaise, Sam Mbendè, qui est à présent membre d’honneur de Kalara, a toujours été là quand on a eu besoin de lui. Avec un peu de chance, il pourrait nous faire une belle surprise lors de la prochaine Nuit Kalara du 07 mai 2016, précédé du tournoi de football.

Comment réagit Germaine Moné á ceux qui estiment que l´association Kalara devient peu à peu la nouvelle tanière des lions?
Je ne vois vraiment pas en quoi Kalara devient la tanière des lions, c’est la tanière de tous ceux qui veulent participer selon leur moyen, en donnant plus que de leur superflu à un monde un peu plus juste. La tanière de tous ceux qui ne veulent pas s’arrêter à des critiques mais veulent passer à l’action, aussi petite soit-elle. Et je crois qu’il n’y a pas de petites actions. Nous ne savons jamais les répercussions à court,  moyen et long terme des actes de bien ou de mal que nous posons aujourd’hui. J’invite tout le monde à plus de solidarité, à laisser dilater nos cœurs. A donner de notre temps pour l’autre sans rien attendre en retour. C’est difficile pour certains vu la vitesse de la vie. Mais c’est clair il y a plus de joie à donner qu’à recevoir. Et j’en fais chaque jour l’expérience.

Les lecteurs de camer.be se demandent pourquoi les parrains de Kalara ne sont pas présents lors des remises de dons aux élèves dans les villes et villages du Cameroun?

Le fait que Kalara agit davantage pour le moment lors des rentrées scolaires, cela demande un gros sacrifice, nos agendas sont si chargés qu’on a du mal à se libérer. J’espère en tout cas qu’ils le feront très bientôt. J’attends, moi aussi, ce moment.

Quels sont vos meilleurs souvenirs dans l´œuvre de soutien scolaire que vous menez depuis  5ans?
Houlala !!! J’en ai tellement !

-    Une enfant, Laetitia qui a aujourd’hui une identité et qui va à l’école normalement alors qu’elle était l’orpheline, laissée pour compte, accusée de sorcellerie.
-    Des parents qui vous remercient et vous bénissent pour les avoir aidés en résolvant le casse-tête chinois qu’est la rentrée scolaire.
-    Des enseignants qui m’ont dit que, grâce à nos livres, ils avaient pu diversifier leurs sources dans la préparation de leurs leçons. Et mis en place des concours de lecture, et de mathématique à partir des livres reçus de Kalara.
-    Des jeunes filles qui racontaient avec un grand sourire qu’entre elles,  elles discutent sur tel ou tel roman après l’avoir lu et que leur esprit critique se développait.
-    Bien sur l’accueil dans les villages qui nous laissent toujours sans voix.
-    La simplicité des gens qui ne se prennent pas la tête. Un jour où nous étions attendus depuis le matin dans une école, mais que le matériel n’était pas arrivé la veille comme prévu, mais seulement le lendemain à 18 heures. J’en étais malade, je pleurais tellement j’étais mal vis-à-vis de parents, des enfants, des enseignants qui attendaient depuis si longtemps.

Le stress était énorme, ma tension est montée très haut ce jour-là. Mais voilà, nous sommes arrivés en pleine nuit vers 19h. Mais je vous assure qu’ils nous ont accueillis comme s’il ne s’était rien passé. Je n’étais pas bien dans mes souliers car c’était encore là une grande leçon de patience et de confiance que je recevais ainsi d’eux. C’était bien fait pour moi. Je n’oublierai jamais ces populations de l’école de Ndoyémé à Meiganga dans l’Adamaoua.

Et vos principales difficultés sur le terrain?

Là c’est un autre domaine et pas des moindres. C’est d’abord l’accès aux écoles que je citerai en premier. Nous mettions parfois une heure pour faire 5 km. Une heure pour sortir un véhicule d’un ravin, ce n’est pas drôle surtout qu’on est attendu plus loin.
Ensuite la non-collaboration de certaines autorités que je ne comprendrai jamais. On vient tout de même de loin pour leurs populations qui sont nos frères humains et particulièrement des enfants.
Le non-suivi des correspondances et des décisions prises lors des entretiens téléphoniques que nous menions avec eux. C’est parfois décevant mais, Dieu merci, nous ne nous limitons pas à eux sinon on arrêterait tout. Tant que les enfants, leurs parents, et certaines autorités collaborent à fond (comme l’a fait le sous-préfet de Nitoukou, toute l’équipe de Kalara le remercie encore), nous ne nous découragerons pas.

Que prévoit le programme de l´association Kalara en 2016?

C’est la question à 1 euro. Kalara a des objectifs à court, moyen et long terme, mais pour y arriver c’est toujours un parcours de combattant. En ce moment, nous n’avons plus de local pour stocker et ranger les livres, les cartables et les autres matériels reçus. C’est le premier défi. Six membres de Kalara Belgique d'origine camerounaise, belge et irlandaise (Clémentine Mballa, Maude Florent, Germaine Moné, Daniel Pieron, Françoise Huon, Irène Kirwan) ont fait le déplacement, certains pour la première fois en Afrique.Ils ont pu participer à la distribution au Cameroun. Ils ont été très touchés par l’accueil dans tous les villages, et par la générosité des femmes en particulier.

Nous avons été visiter des écoles à l’ouest du Cameroun. Vous serez peut être surpris comme nous mais les besoins sont les mêmes, les routes aussi. Nous avons rencontré des chefs traditionnels, comme le Roi Baleng qui nous a si bien accueillis et a facilité notre visite des écoles. Bien que n’étant pas attendus, le Roi des Batié nous a reçus dans sa chefferie après que l’on ait visité des écoles à Batié. Nous avons aussi été à Dschang. Nous pensons aussi entrer bientôt en contact avec les délégués de Nkongsamba.

En 2016 déjà, nous comptons organiser un diner-rencontre Kalara en février pour le projet Livres au programme. Il y aura bien entendu les incontournables, à savoir le Tournoi de solidarité Kalara, avec le soutien de la COCOF et de la Fédération Wallonie Bruxelles, et on espère d’autres sponsors, La nuit Kalara, le rendez-vous gastronomique et culturel à ne pas manquer.( Rire).

Nous recherchons des subventions pour électrifier une école au photovoltaïque. Nous souhaiterions construire dans quelques années une école Kalara, mais avant cela rénover d’autres écoles. Mais tout cela a un coût. S’il y a parmi vos lecteurs des personnes qui veulent se joindre à ces beaux projets et apporter une contribution financière, des conseils ou autres, nous les accueillerons chaleureusement.

Quels sont les critères pour qu´une école au Cameroun bénéficie du soutien scolaire de votre association?

Les critères restent les mêmes : elle doit être située en zone rurale, avoir maximum 150 élèves, être tirée au sort parmi celles remplissant les même conditions. La liste des écoles nous vient des délégués départementaux, ou des inspecteurs d’arrondissement de la région que Kalara a préalablement décidé d’aider en assemblée générale. On a parfois été induit en erreur en ne donnant pas sa chance à l’un ou l’autre département. Mais la Sagesse de Dieu nous le dévoile à temps et nous réussissons à contourner cela et à leur donner une chance. Si on avait plus de moyens, c’est avec un énorme plaisir que nous aiderions plus d’écoles, plus d’enfants, plus de parents.

Un mot á tous ceux qui vous accompagnent?

Je ne sais pas vraiment par où commencer. Je tire mon chapeau à la jeune et dynamique équipe Kalara du Cameroun, dirigée par Guy Mbita. Je pense particulièrement à Georges Zela Ndondo, Joseph Bian, Huguette Mbodiong Janvier Njikam, et les deux plus que motivées Amandine qui ont donné tout ce qu’ils pouvaient pour que nous avancions. Merci à Laurentine Manga Assiga, journaliste au Cameroun, pour tout ce qu’elle a fait pour la communication au Cameroun.

Merci de tout cœur à nos généreux donateurs d´ici et de partout.

Je ne trouve pas de mot plus fort pour dire merci aux membres de Kalara Belgique, qui malgré leurs multiples responsabilités, continuent à donner de leur temps et leurs apports financiers pour la concrétisation de nos actions. Merci à la diaspora camerounaise de Belgique, et en particulier à Daniel Assoumou, au Molah de Bruxelles, à Elvis Bekolo, à Colette Ndjomgang, à Nicolas de Fotso, à Ghislain Kongne, à Hugues Richepin de Vitrine africaine, à Dominique Ottou, à Jacqueline Massing, à Françoise Minyem, à Pascal Ottou, à Clémentine Mballa, à Patrice Dongo, à Landry Aboghe, à Stéphanie Sen Makonda, à Julie Essoh et bien d’autres encore…

Je remercie infiniment Madame la Ministre Fadila Laanan qui nous apporte son soutien, la Fédération Wallonie Bruxelles dans sa promotion du sport, les autorités de la commune d’Anderlecht, les membres du cercle Condorcet, le Rotary club de Marieront et de Thuin Thudinie, Sibecor Consulting SPRL, AFORE Consulting et Lyca Mobile.

Je vous remercie, vous qui faites de notre association Kalara ce qu’elle devient petit à petit depuis 5 ans. Et je me joins au bureau, au parrain, à nos membres d’honneur pour vous dire MERCI pour votre CONFIANCE.

Aux journalistes de Camer.be, nous vous remercions encore pour cet intérêt que vous portez à nos petites actions pour un monde meilleur et pour l’occasion que vous nous offrez de nous faire connaitre un peu plus et, qui sait, d’obtenir de nouveaux membres et de toucher de généreux donateurs de par le monde.

Toutes mes félicitations, et très bonne continuation dans vos actions en matière d’informations. J’ai peut-être été un peu trop longue ? Désolée, c’est une déformation professionnelle de l’institutrice que j’ai été. (rires). www.kalara.org pour mieux nous connaître et nous contacter.

Je vous remercie.
Quelques liens utiles

www.kalara.org
https://www.facebook.com/kalara.asbl

 

© camer.be : Issa-Behalal

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